Godin répond à la lettre amicale de monsieur de Saint-Vallier en lui exprimant son désir de poursuivre leur collaboration dans la commission des chemins de fer et canaux lors de la prochaine session [du conseil général de l'Aisne]. Il se félicite du succès qu'ils ont obtenu, malgré la restriction apportée au sujet du tracé de la voie de chemin de fer de Marle à Montcornet. Il lui conseille d'envoyer ses lettres à monsieur Détraux au siège de la société au 2, rue Saint-Pétersbourg à Paris.