Godin explique à Raoux que l'état actuel des partis politiques en France ne permet pas aux œuvres socialistes de se développer, et qu'ainsi, le Familistère est toujours dans l'état décrit dans Solutions sociales. Il ne juge pas utile de faire l'exposé des tracasseries que lui causent le parti clérical et les ennemis du progrès. Godin informe Raoux qu'il a reçu une lettre de Deladoey, notaire à Lausanne, qui désire ouvrir des conférences sur la question ouvrière. Godin évoque la possibilité de donner lui-même une conférence en Suisse sur les réformes sociales, et d'aller un jour chercher asile à l'étranger.