Godin répond à la lettre de Véran Sabran du 31 novembre 1862 qui lui demande des renseignements sur des calorifères. Il lui indique qu'il construit de grands calorifères qui brûlent 12 heures environ, dont il lui décrit le fonctionnement, et coûtent à Guise 159 à 174 F. Il lui annonce qu'il envoie à son beau-frère un album et une notice relative au calorifère. Il explique à Véran Sabran qu'il ne veut pas consentir de dépôts de marchandises, mais il ne veut pas repousser les offres d'amis qui voudraient représenter ses produits dans une exposition nîmoise. Il attend la visite de Véran Sabran en février à Guise et lui demande de dire à Donnedieu qu'il est flatté du souvenir qu'il a gardé de lui.