FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Jules Prudhommeaux de ses mots affectueux pour la famille Moret-Dallet. Elle l'informe qu'Auguste Fabre a achevé la lecture de sa pièce Le droit chemin, qu'elle lui renvoie la pièce, et que Fabre va lui envoyer les notes à partir desquelles Prudhommeaux pourra rédiger le communiqué de presse annonçant la conférence [de Fabre sur le Familistère] le 27 mai 1899 à la Bourse du travail [de Lyon]. Elle informe Prudhommeaux que monsieur Godart accepte la conférence de Fabre pour le cercle de Vaise et qu'il se propose de manipuler la lanterne [de projection des vues photographiques]. Elle indique que la famille Moret-Dallet prépare son départ de Nîmes et exprime sa gratitude à mademoiselle Jeanne [Prudhommeaux, sœur de Jules] pour ses bons soins touchant aux conférences sur le Familistère. Elle salue les parents de Prudhommeaux. Dans la note manuscrite sur le folio 313r, elle indique qu'elle a envoyé le 22 mai 1899 une carte de remerciement [à Prudhommeaux] pour l'envoi de la circulaire annonçant la conférence de Fabre à Lyon le 27 mai 1899.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret indique à Jules Prudhommeaux qu'en raison d'une étude qu'elle veut achever pendant son séjour à Guise, elle n'a pas le loisir de lire le livre L'être subconscient , et lui demande si elle peut le conserver pour le lire plus tard. À propos d'un emploi à Nîmes que pourrait occuper Jules Prudhommeaux sur le conseil d'E. Dupuy, qui pourrait lui permettre de travailler à sa thèse sans interrompre sa carrière universitaire. Elle remercie Jeanne Prudhommeaux de ses efforts pour réunir les journaux qui rendent compte de la conférence d'Auguste Fabre sur le Familistère prononcée à Lyon. Elle souhaite l'amélioration de la santé de mademoiselle Irma. Elle transmet son souvenir à monsieur et madame Prudhommeaux [parents de Jules]. Elle informe Jules Prudhommeaux qu'une lettre de monsieur et madame Charles Babut lui annonce le prochain mariage de leur fils Henri Babut, toujours à Landouzy, avec une demoiselle de Condé-sur-Noireau. Elle félicite Jules Prudhommeaux pour sa puissance de travail qui lui permet de faire une révision du manuscrit du livre de Noyes.

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