Sur l'affaire de contrefaçon Degon : Godin indique à Barral qu'il a attendu que soient passées les élections pour lui annoncer qu'il souhaite, en raison de l'absence de numéraire, pouvoir récupérer les fonds ayant servi au cautionnement du procès, dont Barral détient les pièces ; il lui précise qu'il pourra recevoir de l'aide auprès de monsieur Minich, rue de la Roquette à Paris, dont le nom a été cité au cours de l'expertise.