Sur l'affaire Jacquet. Godin explique à Lecoq de Boisbaudran que Jacquet ne se presse pas pour lui remettre, conformément au jugement, les objets qu'il lui a livrés : les uns sont à l'Exposition universelle, il en a vendu d'autres et il s'en trouve à Soissons et Reims qu'il ne peut faire venir à Paris ; Jacquet réclame les 10 000 F de dommages et intérêts qui lui sont dus mais semble vouloir garder l'argent de la vente des appareils qu'il a réalisée. Godin demande conseil à Lecoq de Boisbaudran. Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin indique qu'il ne connaît aucun avoué à Metz mais son avocat de Charleville a recommandé Charles René Noizet. Godin demande à Lecoq de Boisbaudran si Jules Favre ne s'oppose pas à ce choix.