Godin répond à une lettre de Cantagrel du 21 mars 1853 en lui demandant de lui expédier un tonneau de vin millésimé 1846 et un autre de 1848. Godin entretient Cantagrel de la cuisinière achetée par ce dernier à un prix réduit. Il évoque une visite de Cantagrel à la porte du Rivage où sont présentées des cuisinières, et l'installation en cours d'un site de fabrication industrielle à « Forez » sous la direction de monsieur Cador, qui réside provisoirement à l'hôtel de Bordeaux, rue du Midi. Godin suggère à Cantagrel qu'il serait préférable, plutôt que songer à la réalisation d'un phalanstère, de mettre en œuvre les idées de garantisme et d'association : « C'est diviser une grande force inerte pour la rendre partiellement active. »