Godin répond à la lettre de Conland du 1er mars 1886 qui propose à Godin de le représenter à la commission royale enquêtant à Londres sur la crise industrielle mondiale. Il lui indique qu'il lui a adressé à la réception de sa lettre plusieurs ouvrages sur le Familistère. Il lui signale aussi qu'il s'efforce de promouvoir par le journal Le Devoir, en France et à l'étranger, la création d'institutions de prévoyance et de protection mutuelles par le moyen de l'hérédité de l'État. Il évoque plusieurs ouvrages sur le sujet qu'il vient ou qu'il va lui envoyer. Il fait une revue de la presse anglaise sur le Familistère depuis 20 ans.