FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret accuse réception la lettre de Jules Prudhommeaux du 4 février 1899. Elle lui indique qu'elle envoie à Auguste Fabre, chez Jules Pascaly à Paris, la lettre qui lui est destinée, et lui donne des informations sur le voyage de Fabre : il s'est rendu à Paris le vendredi 3 février 1899 pour assister à une réunion coopérative qui s'est tenue le 5 février 1899 et pour donner une conférence illustrée de 50 vues du Familistère qu'il a emportées avec lui avec le texte de sa conférence « afin de pouvoir lire au besoin, vu son manque d'habitude de parler en public » ; Fabre doit répéter sa conférence à Lyon le jeudi 9 février et s'est entendu à ce sujet avec l'ami de Prudhommeaux, monsieur Godart ; Fabre ne pourra rencontrer Prudhommeaux à Gannat. Elle accuse réception de brochures icariennes envoyées par Prudhommeaux, félicite ce dernier pour l'acceptation de son sujet de thèse, et évoque la conférence avec vues qu'il va prononcer.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret donne des nouvelles d'Auguste Fabre à sa fille : Fabre doit prononcer aujourd'hui sa conférence sur le Familistère au Musée social avec projections à la lumière électrique ; il s'est rendu à Paris pour les besoins de la fédération coopérative et a assisté à l'assemblée coopérative le 5 février avec entre autres monsieur de Boyve ; il a séjourné chez Jules Pascaly à Paris ; il doit répéter sa conférence à Lyon jeudi 9 février avant de rentrer à Nîmes le 10 ou le 11 février ; il n'a pas reçu la lettre de monsieur Ronzier et n'a pas vu ce dernier à son départ de la gare de Nîmes le vendredi 3 février. Marie Moret informe Juliette Cros qu'Émilie a bien reçu sa lettre du 21 janvier 1899 et que Marie-Jeanne a bien reçu les photographies qu'elle a envoyées. Elle donne enfin une méthode de rasage à l'intention du mari de Juliette Cros : graisser la peau avec de la vaseline et utiliser du lait ou du savon mélangé au lait.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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En son nom et au nom d'Émilie Dallet, Marie Moret remercie Louis-Victor Colin pour sa lettre du 25 février 1899 et les documents qui y étaient joints. Elle l'informe qu'Auguste Fabre a étudié ces documents et qu'il souhaiterait parler avec Colin de « cette grosse question ». Sur un rendez-vous manqué de Fabre et de Colin à Paris : Fabre s'était rendu à Paris pour une réunion coopérative, trois jours avant le jour fixé pour sa conférence au Musée social ; l'espoir de voir Colin à cette occasion a été déçu quand Fabre a appris qu'on avait télégraphié à Colin la nouvelle de la mort du comte de Chambrun ; Marie Moret regrette qu'il n'ait pas communiqué à Colin son adresse chez Jules Pascaly. Elle indique à Colin que Charles Robert a annoncé à Fabre que sa conférence ne pourra avoir lieu avant l'automne 1899. Elle joint à sa lettre à Colin une lettre de délégation pour qu'il la représente à l'assemblée générale des associés de la Société du Familistère du 9 mars 1899.
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