FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Gaston Piou de Saint-Gilles, 20 mai 1891
Réception d'une plume en verre offerte par Gaston Piou de Saint-Gilles. À propos d'une fausse information relative à une grève des mouleurs de l'usine du Familistère.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Ernest Dubois, 23 mai 1891
Envoi d'un numéro du journal Le Devoir. À propos d'une rumeur de grève au Familistère : la participation d'ouvriers de Laeken à la manifestation en faveur du suffrage universel à Bruxelles a pu donner lieu à la rumeur.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Beretti, 12 janvier 1873
Godin répond à la lettre de Beretti du 27 octobre 1873. Il s'étonne que Beretti ait pris ses renseignements à de mauvaises sources alors qu'il se trouvait à Guise. Godin conteste le fait qu'il y ait eu des grèves dans son établissement et qu'il fait en sorte que les ouvriers puissent exprimer chaque jour leurs prétentions et leurs besoins pour éviter que les difficultés s'accumulent. Il lui indique que le marchand russe qui en 1858 est resté son débiteur dans les affaires faites avec lui est Besson, mécanicien, « grande Melchansky au coin de Novoi Péréoulk, maison Karaloff à Saint Pétersbourg ».

Auteur : Fabre, Auguste (1839-1922)
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Auguste Fabre dément qu'une grève ait eu lieu dans les Fonderies et manufactures du Familistère. Il indique que l'installation de l'Association coopérative du capital et du travail a donné lieu à un échange d'explication avec le personnel. Il demande au Temps d'insérer un rectificatif.

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Auteur : Fabre, Auguste (1839-1922)
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Auguste Fabre dément qu'une grève ait eu lieu dans les Fonderies et manufactures du Familistère. Il indique que l'installation de l'Association coopérative du capital et du travail a donné lieu à un échange d'explication avec le personnel. Il demande au Temps d'insérer un rectificatif.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin assure de Pompéry que les rumeurs de grève au Familistère sont une calomnie cléricale à laquelle répondra le journal Le Devoir. Il juge que ses conseils traduisent une méconnaissance de l'ouvrier du Familistère, du problème social et de l'être humain. Il lui rappelle qu'il existe 6 classes de l'enfance et 11 personnes attachées à l'instruction et à l'enseignement au Familistère ; il lui lance : « S'il y a des gens capables de pétrir l'enfant et l'homme comme de la cire molle, qu'ils viennent donc à côté de moi ». De Pompéry a estimé que Godin négligeait le « côté moral » : Godin lui reproche de ne pas avoir lu Mutualité sociale.
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