Jean-Baptiste André Godin à Tito Pagliardini, 11 mai 1868

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)

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Jean-Baptiste André Godin à Tito Pagliardini, 11 mai 1868

Les relations du document

Collection Correspondant.e.s

Godin, Émile (1840-1888) est cité(e) dans cette lettre

Pagliardini, Tito (1817-1895) est destinataire de cette lettre

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Présentation

Auteur·eGodin, Jean-Baptiste André (1817-1888)

Date de rédaction11 mai 1868

Lieu de rédactionGuise (Aisne)

DestinatairePagliardini, Tito (1817-1895)

Lieu de destinationInconnu

Description

Résumé

Godin traite de l'amitié qui le lie à Pagliardini, décrit le projet du Familistère, compare la France et l'Angleterre sur le plan du progrès social, son œuvre et celle d'Henry Currer Briggs, et évoque ses embarras judiciaires.

Mots-clés

Amitié, Familistère, Procédure (droit), Socialisme utopique

Personnes citées

Événements citésSéparation des époux Godin et Lemaire (1863-1877)

Lieux cités

Informations biographiques sur les correspondant·es et les personnes citées

NomGodin, Émile (1840-1888)

GenreHomme

Pays d'origineFrance

Activité

Familistère
Rente/Propriété

BiographiePropriétaire français né en 1840 à Esquéhéries (Aisne) et décédé en 1888 à Fligny-le-Petit (Aisne). Émile Caïus Godin est le fils de Jean-Baptiste André Godin et d'Esther Lemaire. Il décède le 2 janvier 1888, quinze jours avant son père.

NomPagliardini, Tito (1817-1895)

GenreHomme

Pays d'origine

Italie
Royaume-Uni

Activité

Éducation
Fouriérisme
Littérature

BiographieHomme de lettres et fouriériste d'origine italienne né vers 1817 à Città di Castello (Italie) et décédé en 1895 à Londres (Royaume-Uni). Fils d'un professeur de langues, Tito Pagliardini donne lui-même des cours privés. La famille Pagliardini se trouve à Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais) vers 1840, époque à laquelle Tito Pagliardini se marie. Il s'établit ensuite à Londres, où il enseigne la langue française au collège Saint-Paul de 1853 à 1879. Tito Pagliardini visite le Familistère en compagnie de son épouse avant août 1865. Il entretient une correspondance chaleureuse avec Godin, devient son ami et son zélé propagandiste en Grande-Bretagne. Pagliardini est en relation avec le mouvement fouriériste en France. En août 1885, Pagliardini visite à nouveau le Familistère en compagnie de Lucy R. Latter.

Informations sur le document source

CoteFG 15 (10)

Collation2 p. (55r, 56v)

Nature du documentCopie à la presse d'un manuscrit

Lieu de conservationBibliothèque centrale du Conservatoire national des arts et métiers, Paris

Notice créée par Équipe du projet FamiliLettres Notice créée le 15/12/2021 Dernière modification le 03/01/2024