Marie Moret à Henri Babut, 22 mars 1893

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)

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Les relations du document

Collection Correspondant.e.s

Babut, Henri (1871-) est destinataire de cette lettre

Humann, Charles (-1897) est cité(e) dans cette lettre

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Moret, Marie (1840-1908), Marie Moret à Henri Babut, 22 mars 1893, 1893-03-22

Équipe du projet FamiliLettres (Familistère de Guise - CNAM) & Projet EMAN (UMR Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne Nouvelle)

Consulté le 07/08/2025 sur la plate-forme EMAN : https://eman-archives.org/Famililettres/items/show/11653

Informations sur le document source

CoteInv. n° 1999-09-53

Collation2 p. (204r, 205r)

Nature du documentCopie à la presse d'un manuscrit

Lieu de conservationFamilistère de Guise

Informations sur l'édition numérique

ÉditeurÉquipe du projet FamiliLettres (Familistère de Guise - CNAM) & Projet EMAN (UMR Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne Nouvelle)

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Présentation

Auteur·eMoret, Marie (1840-1908)

Date de rédaction22 mars 1893

Lieu de rédaction14, rue Bourdaloue, Nîmes (Gard)

DestinataireBabut, Henri (1871-)

Lieu de destination1, rue Bourdaloue, Nîmes (Gard)

Description

Résumé

Sur l'abonnement d'Henri Babut à L'Église de l'avenir contracté par Marie Moret : Marie Moret souhaitait par ce moyen soutenir la revue et mettre en relation Charles Humann, à la tête d'un groupe de Swedenborgiens, et Henri Babut qui a fait des études en théologie.

Mots-clés

Périodiques, Spiritualité

Personnes citées

Œuvres citées

Informations biographiques sur les correspondant·es et les personnes citées

NomBabut, Henri (1871-)

GenreHomme

Pays d'origineFrance

Activité

Pacifisme
Religion

BiographiePasteur et pacifiste français né en 1871 à Nîmes (Gard). Henri Émile Babut est le fils du pasteur nîmois Charles-Édouard Babut (1835-1916) et de Julie Hélène Bonnet. Il est cofondateur à Nîmes (Gard) en 1887, avec Jules Prudhommeaux (1869-1948) et Charles Toureille, de la Société ou Association des jeunes amis de la paix, devenue La paix par le droit en 1893. Henri Babut est le vice-président de l'Association en 1888 ; il réside alors au 20, rue Clérisseau à Nîmes, chez ses parents. Il est abonné à titre gratuit à Montauban puis à Nîmes (1, rue Bourdaloue) au journal du Familistère Le Devoir (Guise, 1878-1906). Il soutient sa thèse de théologie à l'Université de Paris en janvier 1897. Sa consécration au ministère pastoral a lieu le 5 mars 1897. Dès février 1897, il est établi à Landouzy-la-Ville (Aisne) pour y exercer son ministère. Il se marie le 17 août 1899 à Condé-sur-Noireau (Calvados) avec Lucile Anne, née à Condé-sur-Noireau en 1866, en présence de Jules Prudhommeaux.

NomHumann, Charles (-1897)

GenreHomme

Pays d'origineFrance

Activité

Droit/Justice
Littérature

BiographieAvocat à la Cour d'appel de Paris et pasteur de l'Église swedenborgienne de Paris, né vers 1827 et décédé en 1897 à Meudon (Hauts-de-Seine). Charles-Ferdinand Humann révise la troisième édition de la traduction française par Le Bois des Guays du livre d'Emmanuel Swedenborg, De la nouvelle Jérusalem et de sa doctrine céleste, parue à Paris en 1884. Il est l'auteur de La nouvelle Jérusalem... d'après les enseignements d'Emmanuel Swedenborg (Paris, Au dépôt des livres de La nouvelle Jérusalem, 1889), dont un commentaire élogieux paraît dans le journal du Familistère Le Devoir en juillet 1889. Charles Humann et Louis Humann, s'il s'agit de deux correspondants distincts de Marie Moret, habitent à la même adresse : 25, rue du Jardin, Bellevue à Meudon (Hauts-de-Seine).
Mariée à Marie Louise Holmes âgée de 48 ans au décès de Charles Humann en 1897.

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Notice créée par Équipe du projet FamiliLettres Notice créée le 21/12/2021 Dernière modification le 22/08/2024