1607 - Trésor des trésors - Pierre Brossart
Auteur(s) : Collectif
Identification de l'édition
Transcription diplomatique du titreAIRS // DE COVR // COMPRENANS LE TRE- // SOR DES TRESORS, LA // fleur des fleurs, & eslite des // Chansons amou- // reuses. // Extraictes des oeuures non encor cy deuant // mises en lumiere, des plus fameux & // renommez Poëtes de ce siecle. // [bois gravé] // A POICTIERS, // PAR PIERRE BROSSART. // [-] // M. DCVII
Lieu de publicationPoitiers
Imprimeur(s)-libraire(s)Brossart, Pierre
Généralités sur l'édition
Format12°
Nombre de feuillets575 p.
CollationMq. les p. 547-548 et 557-558.
Composition générale de l'édition1. Table des chansons (13 pages)
2. bandeau - "La fleur ou l’eslite de toutes les chansons amoureuses & Airs de Cour."
Succession de pièces intitulées "Air de Cour(t).", "Chanson.", "Chanson amoureuse.", "Response." sans saut de page entre les pièces, qui alternent de manière irrégulière entre romain et italique.
3. p. 482 : bandeau - "Chansons à danser." Jusqu’à la page 535, toutes les pièces s’intitulent "Chanson à danser".
p. 535 "Chanson de l’eau et du vin.", puis dans les pages qui suivent "Chansons à boire.", "Autre chanson.", "Chanson.", puis vers la fin de l’ouvrage "Air de cour", jusqu’à p. 567 "Chanson nouvelle d’une servante de Lyon, laquelle a esté bruslée toute vive, pour avoir empoisonné sa maistresse, pensant avoir son maistre en mariage.", p. 570 "Chanson noouvelle d’une jeune fille qui s’est rendue Religieuse pour avoir esté abuzée de son amy parjure."
2. bandeau - "La fleur ou l’eslite de toutes les chansons amoureuses & Airs de Cour."
Succession de pièces intitulées "Air de Cour(t).", "Chanson.", "Chanson amoureuse.", "Response." sans saut de page entre les pièces, qui alternent de manière irrégulière entre romain et italique.
3. p. 482 : bandeau - "Chansons à danser." Jusqu’à la page 535, toutes les pièces s’intitulent "Chanson à danser".
p. 535 "Chanson de l’eau et du vin.", puis dans les pages qui suivent "Chansons à boire.", "Autre chanson.", "Chanson.", puis vers la fin de l’ouvrage "Air de cour", jusqu’à p. 567 "Chanson nouvelle d’une servante de Lyon, laquelle a esté bruslée toute vive, pour avoir empoisonné sa maistresse, pensant avoir son maistre en mariage.", p. 570 "Chanson noouvelle d’une jeune fille qui s’est rendue Religieuse pour avoir esté abuzée de son amy parjure."
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