Lettre de Marguerite Audoux à Antoine Lelièvre
Auteur(s) : Audoux, Marguerite
Fronton,
Haute‑Garonne[1]
[12 avril 1911]
Cher Monsieur,
Marguerite Audoux
[1] 10, rue Léopold Robert (imprimé) est rayé au-dessus.
[2] Voir la précédente lettre (110) adressée par Marguerite Audoux à Lelièvre
[3] Les avis sont très partagés quant à l'aloi de cette nouvelle, qui enthousiasme Michel Yell, mais laisse sceptiques Mirbeau (lettre 149), Marcel Ray et Léon Werth (Correspondance Larbaud‑Ray, Gallimard, tome deuxième, p. 128). Françoise Lioure précise que « «Valserine» était une nouvelle qui, dans l'esprit de Marguerite Audoux, constituait l'ébauche d'un futur roman. Le roman ne fut jamais achevé. Il semble que M. Audoux commença à donner «Valserine» en feuilleton dans Paris‑Journal en septembre 1911 [effectivement, à partir du 23]. La nouvelle fut publiée pour la première fois dans le numéro de la revue Les Primaires consacré à M. Audoux en août 1922. Elle fut intégrée au recueil de nouvelles intitulé La Fiancée, paru chez Flammarion en 1932. » (Ibid., note 5 de la lettre 166, p. 296‑297). [N. B. : Ne furent publiés dans Les Primaires que des extraits de cette longue nouvelle].
[4] Un second assez, écrit par erreur, est rayé
On notera que, parmi les enveloppes retrouvées qui accompagnent les lettres, c'est chronologiquement la première qui porte l'adresse personnelle de Lelièvre.