Archives Marguerite Audoux

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Collection : 1929

Collection : 1929
Auteur(s) : Tcheng, Cheng
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CHENG TCHENG (SHENG, CHENG) (1899‑1996), traducteur, professeur et écrivain, est un militant chinois qui, à douze ans, participe à la Révolution de 1911 et en 1919 prend part aux manifestations patriotiques du 4 mai contre le Japon. Il part en exil en France, y poursuit ses études (licence de biologie à Montpellier), enseigne à la Sorbonne, et devient l'ami de Valéry, Gide et Picasso. Son œuvre principale est Ma Mère (1928), premier tome, assorti d'une Préface de Paul Valéry, d'un dyptique intitulé Vers l'Unité. Le second volume, Ma Mère et moi, à travers la Révolution chinoise, paraît l'année suivante. Cheng Tcheng signe également des articles dans la revue COmmerce. De retour à Pékin, il enseigne la poésie française. Invité par de Gaulle, il revient en France en 1965, où il demeure avant de retourner en Chine après la chute de la Bande des Quatre. Il enseigne alors à l'Institut des Langues de Taiwan, et retourne en France dans les années 90.

N. B. : En juillet 1931, le médecin et critique d'art Elie Faure s'embarque au Havre pour un tour du monde qui durera neuf mois. Au cours de son périple, il rencontre, en Chine, Cheng Tcheng, déjà croisé à Paris dans les années vingt. [Voir Courtois, Martine et Morel, Jean‑Paul, Elie Faure, Séguier, 1989, p. 226 et 291] Est‑ce donc Elie Faure, que Marguerite Audoux connaît (c'est lui qui a tenté désespérément de sauver Charles‑Louis Philippe en décembre 1909), qui la met en relation avec le philosophe chinois ?

Collection : 1929
Auteur(s) : Reyer, Georges
Archives Marguerite Audoux
Voir la partie DESCRIPTION de la lettre 328

Collection : 1929
Auteur(s) : Joffre, Félix
Archives Marguerite Audoux
Sculpteur et médailleur né à Marcille (en Seine‑et‑Oise) le 26 mars 1903, élève de Jean Boucher, Félix Joffre obtient le Prix de Rome en 1929 avec L'été.

Collection : 1929
Auteur(s) : Bedel, Maurice
Archives Marguerite Audoux
Né à Paris, rue Spontini, le 30 décembre 1883, d'une famille de magistrats et de savants, Maurice Bedel mena à la fois des études scientifiques et littéraires. Il soutint à la Faculté de Médecine de Paris une thèse de doctorat sur les Obsessions périodiques en même temps qu'il publiait chez Grasset ses premiers poèmes. Après avoir parcouru l'Europe en tous sens, il écrivit en 1927 le premier d'une longue série de romans, Jérôme 60o Latitude nord (Gallimard), qui lui valut le Prix Goncourt. Il mourut en 1954.
Le 3 février 1937, il envoie une lettre de condoléances à Paul d'Aubuisson pour le décès, qu'il a appris par les journaux, de Marguerite Audoux. (Fonds d'Aubuisson. Lettre autographe inédite).

Collection : 1929
Auteur(s) : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Voir, dans la lettre 84 : la partie DESCRIPTION, la NOTICE BIOGRAPHIQUE et la note 1 de la partie TEXTE


Collection : 1929
Auteur(s) : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

- Paul d’Aubuisson (1906-1990) est l’aîné des trois petits‑neveux de Marguerite Audoux. C’est son fils adoptif préféré, celui qui jusqu’à sa mort veille sur la mémoire de la romancière, le flambeau ayant été repris par ses deux enfants, Geneviève et Philippe (à qui Bernard-Marie Garreau doit l’accès au fonds d’Aubuisson, qui se trouve à présent chez lui), ainsi que par son neveu Roger (fils de Roger). Une abondante correspondance entre Paul et sa mère adoptive s’inscrit dans le corpus des lettres familiales et familières (dont l’identifiant commence par le chiffre 0). B.-M. Garreau a rencontré paul d’Aubuisson en 1987, et réalisé plusieurs enregistrements de leurs entretiens.

- Amélie Perrier est l’une des meilleures amies de la romancière. Voir la carte postale (366) qu’elles coécrivent de l’Île-d’Yeu, Marguerite Audoux et elle, à la mère de Léon-Paul Fargue le 7 août 1933.

- « Grand-père » est le surnom que, dans les lettres qui lui sont adressées, la romancière attribue souvent à son fils, selon son habitude d’inverser les âges et les sexes. Voir la lettre 55 de la romancière à Jeanne Gignoux (l’épouse de Régis), qu’elle appelle « mon petit Jeannot »…

- Roger et Maurice sont les frères cadets de Paul.

- Rappelons que Paul accomplit son service militaire à Strasbourg.

- Menette est une amie qui apparaît régulièrement dans la correspondance Paul-Audoux. Les renseignements les moins imprécis sur cette femme se trouvent dans le Journal de Romain Rolland en date du 22 mars 1921, jour où il mentionne sa première rencontre avec Marguerite Audoux, accompagnée d’une autre femme, Madame Menet, plus jeune, couturière elle aussi. Un exemplaire de La Fiancée qui se trouve au Musée Marguerite Audoux de Sainte-Montaine contient un envoi à émile et Henriette Menet. Il est donc plus que probable qu’il s’agisse de la même personne que celle mentionnée dans la présente lettre. ces transformations de patronymes sont monnaie courante rue Léopold‑Robert (la mère de Léon‑paul Fargue ne devient‑elle pas « Farguette » ?...).

- Baboulot (surnom apocopé ici en Baboul, puis en Bab) est le fils de Francis Jourdain, Frantz-Philippe, qui est de la même année que Paul (1906)

- En ce qui concerne Léon Werth, l’allusion faite ici à la danse renvoie à l’un des domaines de prédilection que couvre le journaliste.

- à propos de Cheng Tcheng, voir la lettre 330 envoyée vingt jours plus tôt par l’écrivain chinois à Marguerite Audoux.

- Les « Trott », enfin, désignés la plupart du temps par Paul et la romancière par ce diminutif, renvoient à madeleine et Lucien Trautmann, surnommé Tatu, ce dernier étant un vieil ami de Léon-Paul fargue et de Charles Chanvin. On le trouve dès 1912 à L’Île-d’Yeu avec ces quelques membres du Groupe de Carnetin. Voir la lettre 185 d’août 1912 à Antonin Dusserre et la lettre 247 adressée le 11 novembre à Antoine Lelièvre

Collection : 1929
Auteur(s) : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

- Paul d’Aubuisson (1906-1990) est l’aîné des trois petits‑neveux de Marguerite Audoux. C’est son fils adoptif préféré, celui qui jusqu’à sa mort veille sur la mémoire de la romancière, le flambeau ayant été repris par ses deux enfants, Geneviève et Philippe (à qui Bernard-Marie Garreau doit l’accès au fonds d’Aubuisson, qui se trouve maintenant chez lui), ainsi que par son neveu Roger. Une abondante correspondance entre Paul et sa mère adoptive s’inscrit dans le corpus des lettres familiales et familières (dont l’identifiant commence par le chiffre 0). B.-M. Garreau a rencontré paul d’Aubuisson en 1987, et réalisé plusieurs enregistrements de leurs entretiens.

- « Seigneur » est un personnage non identifié, tout comme Mme Tessort, Minie, et Marie-Louise.

- Pierre Valin est un confrère, fidèle puisqu’il envoie régulièrement ses ouvrages dédicacés à la romancière (13 en tout).

- Mme Guillemin est la personne qui loue à la romancière la maison de L’Île-d’Yeu pour les vacances.

- Roger et Maurice sont les frères cadets de Paul.

- Menette est une amie qui apparaît régulièrement dans la correspondance Paul-Audoux. Les renseignements les moins imprécis sur cette femme se trouvent dans le Journal de Romain Rolland en date du 22 mars 1921, jour où il mentionne sa première rencontre avec Marguerite Audoux, accompagnée d’une autre femme, Madame Menet, plus jeune, couturière elle aussi. Un exemplaire de La Fiancée qui se trouve au Musée Marguerite Audoux de Sainte-Montaine contient un envoi à émile et Henriette Menet. Il est donc plus que probable qu’il s’agisse de la même personne que celle mentionnée dans la présente lettre. ces transformations de patronymes sont monnaie courante rue Léopold‑Robert (la mère de Léon‑paul Fargue ne devient‑elle pas « Farguette » ?...).

Collection : 1929
Auteur(s) : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

Paul d’Aubuisson (1906-1990) est l’aîné des trois petits‑neveux de Marguerite Audoux. C’est son fils adoptif préféré, celui qui jusqu’à sa mort veille sur la mémoire de la romancière, le flambeau ayant été repris par ses deux enfants, Geneviève et Philippe (à qui Bernard-Marie Garreau doit l’accès au fonds d’Aubuisson, qui se trouve chez lui), ainsi que par son neveu Roger. Une abondante correspondance entre Paul et sa mère adoptive s’inscrit dans le corpus des lettres familiales et familières (dont l’identifiant commence par le chiffre 0). B.-M. Garreau a rencontré paul d’Aubuisson en 1987, et réalisé plusieurs enregistrements de leurs entretiens.

- « Grand-père » est le surnom que, dans les lettres qui lui sont adressées, la romancière attribue souvent à son fils, selon son habitude d’inverser les âges et les sexes. Voir la lettre 55 de la romancière à Jeanne Gignoux (l’épouse de Régis), qu’elle appelle « mon petit Jeannot »…

- Menette est une amie qui apparaît régulièrement dans la correspondance Paul-Audoux. Les renseignements les moins imprécis sur cette femme se trouvent dans le Journal de Romain Rolland en date du 22 mars 1921, jour où il mentionne sa première rencontre avec Marguerite Audoux, accompagnée d’une autre femme, Madame Menet, plus jeune, couturière elle aussi. Un exemplaire de La Fiancée qui se trouve au Musée Marguerite Audoux de Sainte-Montaine contient un envoi à émile et Henriette Menet. Il est donc plus que probable qu’il s’agisse de la même personne que celle mentionnée dans la présente lettre. ces transformations de patronymes sont monnaie courante rue Léopold‑Robert (la mère de Léon‑paul Fargue ne devient‑elle pas « Farguette » ?...).

- Roger est l’un des frères cadets de Paul.

- Le père des trois petits-neveux (« Le père D[‘Aubuisson] ») est présenté, dans la correspondance comme un homme fat et prétentieux ne s’étant jamais occupé de ses enfants. Paul‑Ambroise d’Aubuisson est né à Paris le 7 mai 1880 et s’est éteint au Kremlin‑Bicêtre le 14 octobre 1952. Son petit‑fils Roger (lui‑même fils de Roger), que nous remercions vivement pour le précieux arbre généalogique qu’il a patiemment élaboré et dont il nous a fait une copie, nous a précisé que paul‑Ambroise d’Aubuisson, après son divorce, a trouvé plus de stabilité dans un second mariage, et qu’il conviendrait de relativiser l’image dépréciative qui avait été faite de lui dans la famille, les torts étant inévitablement partagés.

- pas de précisions sur Liba, ni Marie K, citée dans le P.S., ni sur la nature de cette fameuse « rentrée en mai »

- Pour Tcheng Cheng, voir les lettres 330 et 0333

Collection : 1929
Auteur(s) : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

- Paul d’Aubuisson (1906-1990) est l’aîné des trois petits‑neveux de Marguerite Audoux. C’est son fils adoptif préféré, celui qui jusqu’à sa mort veille sur la mémoire de la romancière, le flambeau ayant été repris par ses deux enfants, Geneviève et Philippe (à qui Bernard-Marie Garreau doit l’accès au fonds d’Aubuisson, qui se trouve chez lui), ainsi que par son neveu Roger. Une abondante correspondance entre Paul et sa mère adoptive s’inscrit dans le corpus des lettres familiales et familières (dont l’identifiant commence par le chiffre 0). B.-M. Garreau a rencontré paul d’Aubuisson en 1987, et réalisé plusieurs enregistrements de leurs entretiens.

- Menette est une amie qui apparaît régulièrement dans la correspondance Paul-Audoux. Les renseignements les moins imprécis sur cette femme se trouvent dans le Journal de Romain Rolland en date du 22 mars 1921, jour où il mentionne sa première rencontre avec Marguerite Audoux, accompagnée d’une autre femme, Madame Menet, plus jeune, couturière elle aussi. Un exemplaire de La Fiancée qui se trouve au Musée Marguerite Audoux de Sainte-Montaine contient un envoi à émile et Henriette Menet. Il est donc plus que probable qu’il s’agisse de la même personne que celle mentionnée dans la présente lettre. ces transformations de patronymes sont monnaie courante rue Léopold‑Robert (la mère de Léon‑paul Fargue ne devient‑elle pas « Farguette » ?...).

Collection : 1929
Auteur(s) : Audoux, Marguerite
1929-01-07 aud paul (1).bmp
- Paul d’Aubuisson (1906-1990) est l’aîné des trois petits-neveux de Marguerite Audoux. C’est son fils adoptif préféré, celui qui jusqu’à sa mort veille sur la mémoire de la romancière, le flambeau ayant été repris par ses deux enfants, Geneviève et Philippe (à qui Bernard-Marie Garreau doit l’accès au fonds d’Aubuisson, qui se trouve à présent chez lui), ainsi que par son neveu Roger (fils de Roger). Une abondante correspondance entre Paul et sa mère adoptive s’inscrit dans le corpus des lettres familiales et familières (dont l’identifiant commence par le chiffre 0). B.-M. Garreau a rencontré Paul d’Aubuisson en 1987, et réalisé plusieurs enregistrements de leurs entretiens. Ici, l'épistoilère use de surnoms pour la désigner, elle, et son petit-neveu : "Toto" et "grand-père". On a là une marque supplémentaire de la complicité qui les réunit.
- Georges Marielle est instituteur (Le Jean, cité dans la présente lettre, doit être son fils). Après avoir enseigné à Autrecourt, dans les Ardennes, il aurait donc été muté à Bagneux depuis la rentrée d'octobre 1928. Changement de poste peut-être dû à une séparation ou un divorce ("Il est heureux, je pense", écrit la romancière dans la présente lettre ; d'autre part, on apprend ici que Marielle n'a pas revu sa fille depuis un an). Peut-être Marie-Claire est-elle à l’origine de leur relation, littéraire et amicale, probablement favorisée par Werth, puisqu’on retrouve les deux lettres de Marielle à Marguerite Audoux dans le fonds Werth, et que la romancière, dans une lettre à son «animal poilu» du 5 septembre 1919 (identifiant 259), parle de Mme Marielle. Voir aussi les lettres à Lelièvre (identifiants 256, 257, 282), et à Huguette Garnier (identifiant 283), et une lettre de Paul d’Aubuisson à sa mère adoptive, du 14 janvier 1925, dans laquelle le jeune homme écrit à propos de la fille (Loulou dans la présente lettre) :
J’ai reçu une lettre de Louise Marielle, qui me dit qu’elle apprend à danser à son père, qui lui aussi espère te faire pirouetter aux prochaines vacances. Louise met aussi : «Comme ta tante vient passer les trois mois, j’espère que tu viendras l’accompagner.» (Fonds d’Aubuisson). Cependant, on peut se demander si cette amitié ne remonte pas à plus loin, dans la mesure où les Ardennes sont présentes dans le conte «Le Chaland de la Reine», publié dès le 28 décembre 1908 dans Le Matin. Ce n’est qu’une hypothèse ; mais l’on sait que Marguerite Audoux fonde la plupart du temps ses fictions sur des lieux connus (on retrouve le Jura où elle fut avec les Besson dans «Valserine», et l’Île d’Yeu dans «Les Poulains» et Douce Lumière...).
N. B. : Nous n’avons une trace épistolaire que d’un séjour de la romancière chez ses amis ardennais, celui d’août 1921 (identifiant 282).
- Amélie [Perrier] est une amie de Marguerite Audoux.
- Léon W[erth] (1879 1955) représente, de façon moins radicale et plus marginale que Francis Jourdain, l’homme de gauche du Groupe de Carnetin. Après une enfance où il est plus ou moins livré à lui même, il poursuit de bonnes études, mais quitte l’hypokhâgne d’Henri IV pour exercer de nombreux petits métiers. En tant que juif, il est contraint, pendant la Seconde guerre, de se cacher dans le Jura. Ses relations chaleureuses avec Marguerite Audoux demeurent jusqu’à la fin d’une grande fidélité. La romancière apprécie d’ailleurs plus l’ami que l’homme engagé politiquement à gauche et que l’écrivain, trop intellectuel à son goût. Werth, journaliste reconnu (voir la lettre identifiant 29), et secrétaire de Mirbeau, laisse un certain nombre d’œuvres, dont La Maison blanche qui rate de peu le Goncourt en 1913.
Lettres de Marguerite Audoux à Léon Werth : ideentifiants 89, 94, 132, 137, 139, 147, 148, 152, 171, 175, 177, 178, 179, 183, 184, 189, 203, 212, 221 BIS, 223, 225, 229, 255, 258, 259, 264, 272, 292, 342, 375, 388 et 389.
- Suzanne de Bruyker, originaire des Flandres, et secrétaire de Jean Luchaire (comme le sera Simone Signoret), se mariera avec Otto Abetz en 1932. Tous deux auront rendu visite à Marguerite Audoux dans son appartement de la rue Léopold-Robert. Ils mourront dans un accident de voiture (à bord d'une "coccinelle") le 7 mai 1958. Le Gab, souvent cité en même temps que Suzanne, reste à identifier (conjoint avant Otto Abetz ? Fils ?)
- Menette est une amie qui apparaît régulièrement dans la correspondance Paul-Audoux. Les renseignements les moins imprécis sur cette femme se trouvent dans le Journal de Romain Rolland en date du 22 mars 1921, jour où il mentionne sa première rencontre avec Marguerite Audoux, accompagnée d’une autre femme, Madame Menet, plus jeune, couturière elle aussi. Un exemplaire de La Fiancée qui se trouve au Musée Marguerite-Audoux de Sainte-Montaine contient un envoi à Émile et Henriette Menet. Il est donc plus que probable qu’il s’agisse de la même personne que celle mentionnée dans la présente lettre. Ces transformations de patronymes sont monnaie courante rue Léopold-Robert (la mère de Léon-Paul Fargue ne devient elle pas « Farguette » ou « Farguinette » ?...).

Collection : 1929
Auteur(s) : Audoux, Marguerite
1929-03-28 aud paul.bmp
- Paul d’Aubuisson (1906-1990) est l’aîné des trois petits-neveux de Marguerite Audoux. C’est son fils adoptif préféré, celui qui jusqu’à sa mort veille sur la mémoire de la romancière, le flambeau ayant été repris par ses deux enfants, Geneviève et Philippe (à qui Bernard-Marie Garreau doit l’accès au fonds d’Aubuisson, qui se trouve à présent chez lui), ainsi que par son neveu Roger (fils de Roger). Une abondante correspondance entre Paul et sa mère adoptive s’inscrit dans le corpus des lettres familiales et familières (dont l’identifiant commence par le chiffre 0). B.-M. Garreau a rencontré Paul d’Aubuisson en 1987, et réalisé plusieurs enregistrements de leurs entretiens. Maurice est le plus jeune des trois petits-neveux.

Collection : 1929
Auteur(s) : Audoux, Marguerite
1929-11-26 aud paul (1).bmp
- Paul d’Aubuisson (1906-1990) est l’aîné des trois petits-neveux de Marguerite Audoux. C’est son fils adoptif préféré, celui qui jusqu’à sa mort veille sur la mémoire de la romancière, le flambeau ayant été repris par ses deux enfants, Geneviève et Philippe (à qui Bernard-Marie Garreau doit l’accès au fonds d’Aubuisson, qui se trouve à présent chez lui), ainsi que par son neveu Roger (fils de Roger). Une abondante correspondance entre Paul et sa mère adoptive s’inscrit dans le corpus des lettres familiales et familières (dont l’identifiant commence par le chiffre 0). B.-M. Garreau a rencontré Paul d’Aubuisson en 1987, et réalisé plusieurs enregistrements de leurs entretiens.
- On ne saurait que difficilement identifier Linette et Maman Line. On pense évidemment à Maman Pauline, la mère d'Agathe Jourdain, mais rien n'est moins sûr.
- Amélie [Perrier] est une bonne amie de Marguerite Audoux.
- Del[ange] est journaliste à L'Excelsior (premier quotidien bénéficiant d'une illustration photographique abondante et en grandes dimensions, qui préfigure le France-Soir de Pierre Lazareff) ; on doit à Delange la prépublication de L'Atelier de Marie-Claire dans L'Excelsior, du 21 décembre 1919 au 3 février 1920.
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