[Front de l'est, Hauts de Meuse, vers le 20 août 1914[1]]
Votre H. A. Fournier
[1] Datation d'Alain Rivière (voir les références de son édition dans la partie PUBLICATION). Alain‑Fournier serait donc aux environs de Nixéville. Voir Denizot (Alain) et Louis (Jean), L'Énigme Alain‑Fournier 1914‑1991, Nouvelles éditions latines, 2000, p. 17 (« Déplacements de la 67e D.R. »)
[2] Contrairement à ce qui apparaît dans la lettre manuscrite, Isabelle Rivière clôt ici le premier paragraphe.
[3] « Cette lettre est donnée par Isabelle Rivière (Vie…, p. 391). La phrase «de la frontière» a été omise. » (Alain‑Fournier, Lettres à sa famille et à quelques autres, p. 706, note 1). En réalité, ce n'est pas « la phrase », mais la seule expression de la frontière qui a été omise par la sœur d'Alain‑Fournier.
[4] On trouve le futur simple tranquilliserez dans les deux éditions, citées en fin de lettre, d'Isabelle Rivière et d'Alain Rivière, leçon que nous avions suivie avant d'avoir accès au manuscrit.
[5] Il s'agit donc, contrairement aux allégations de Georges Reyer (Un Cœur pur : Marguerite Audoux, Grasset, 1942, p.168), d'un témoignage épistolaire, d'Alain‑Fournier à Marguerite Audoux, sur Yvonne, et non d'une correspondance avec cette dernière que l'auteur du Grand Meaulnes eût confiée à sa consœur et amie. Voir à ce propos la juste mise au point d'Isabelle Rivière (Op. cit. dans la partie PUBLICATION) p. 518, début de l'appendice 80.
[6] L'actrice et écrivaine Pauline Benda, dite Madame Simone (1877‑1985)
[7] Suit un y rayé.
[8] Toutes les éditions citées dans la patie PUBLICATION, hormis celle de La Sève et la Feuille (article de Michel Algrain), modifient la ponctuation des deux dernières phrases pour aboutir à la leçon suivante : « Je vous laisse toutes les autres. Avec ma grande tendresse, ma parfaite amitié, je vous embrasse… ».
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