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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Collection : Godin_Registre de copies de lettres envoyées_CNAM FG 15 (20) (Correspondance active de Jean-Baptiste André Godin)

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin exprime son regret que les fonctions gouvernementales auxquelles Goblet a été appelé l'ont privé de son concours. Il lui explique qu'Ernest Obry a plaidé dans son affaire de liquidation de la communauté Godin-Lemaire, mais qu'il est à son tour appelé à remplir des fonctions publiques au moment où va avoir lieu l'audience de son procès contre son fils. Delpech a informé Godin que Goblet est prêt à se substituer à Obry dans cette dernière affaire. Il lui explique qu'il veut être débarrassé de l'affaire, que l'audience a été fixée au 22 juin 1880, et que Tisserant a résumé l'affaire dans un travail approuvé par Obry et Delpech.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin félicite Louis Simonin d'être un homme de cœur et de parole. Il lui explique que la conciliation des intérêts entre le capital et le travail serait facilitée si tous les publicistes de la presse républicaine venaient en aide par la parole à ceux qui servent l'idée par l'action. Dans le post-scriptum, il l'informe qu'il a reçu sa lettre et que Marie Moret lui présente ses compliments.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Nus pour sa réponse. Il l'invite à venir au Familistère le plus tôt possible pour parler du journal Le Devoir ou de la revue qui lui succédera, voire pour y séjourner et partager avec lui « l'idée que l'œuvre de l'association du Familistère doit être un point de départ pour bien des réformes à accomplir dans nos sociétés modernes, et particulièrement pour l'inauguration de l'association du capital et du travail, non avec l'idéal de bonheur qu'y attachaient autrefois les phalanstériens, mais au moins avec la certitude d'introduire la justice dans la répartition des fruits du travail et de traduire en pratique l'idée religieuse qui nous est commune ». Godin demande à Nus s'il connaît un rédacteur imbu de l'idée de l'association et des réformes sociales nécessaires, qui pourrait remplacer Champury. Il lui communique les horaires des trains de Paris à Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Ryan de s'être intéressé aussi rapidement au Familistère et à la question de l'échange du journal Le Devoir avec des journaux américains. Il lui annonce qu'il offre avec plaisir l'hospitalité à la personne qu'il veut envoyer au Familistère. Dans le post-scriptum il l'avertit qu'il lui envoie les heures des trains de Paris à Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin remercie Guettier même si son procès a été un échec complet. Il l'informe qu'il lui enverra aussi vite que possible la notice qu'il demande sur son établissement.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à madame Dérivis qu'il lui a envoyé les brochures demandées au bureau du journal du Devoir, auxquelles il a ajouté Solutions sociales. Il l'autorise à communiquer Le Devoir aux journaux qu'elle désire et prend note que le Patriote albigeois pourrait être sympathique à ses idées.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse à veuve Éthiou-Pérou l'épreuve corrigée de son livre Mutualité sociale avec le bon à tirer. Il lui fait observer que le papier qu'elle propose n'a pas assez de main selon ses éditeurs. Il lui communique un échantillon de papier de 12 kg qui conviendrait pour les volumes avec gravure ; il précise que le même papier de 10 kg suffira pour les 1 000 volumes sans gravure et que le format double écu conviendra pour les 20 exemplaires à tirer sur papier timbré.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le procès avec Émile Godin. Sur le compte d'Émile Godin. Godin demande à Tisserant d'expliquer à Goblet que la question qui se pose est celle de savoir s'il y a une preuve d'association entre le père et le fils qui justifierait qu'Émile demandait 2 500 000 F ou s'il ne s'agit que d'une intention de dotation du père à l'égard du fils. Dans le post-scriptum, Godin rapporte une conversation avec son fils Émile suivant laquelle celui-ci justifiait d'avoir porté des sommes importantes à son compte par l'intention de se porter le cas échéant acquéreur des usines qu'Esther-Lemaire aurait pu faire vendre.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la reconstruction du pont sur l'Oise. Godin sollicite l'autorisation d'abaisser les eaux du bief pendant les travaux. Godin explique que cet abaissement peut se faire sans dommage pour personne dans la mesure où les crues de l'Oise ont, au cours de l'hiver dernier, créé un ensablement qui sépare le bief du canal des usines. Il ajoute que cet abaissement pourra servir à la construction du déversoir actuellement à l'enquête.
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