Godin demande à Levasseur d'insérer dans son journal un extrait de l'acte de société passé le 13 août 1880 entre Godin et Dequenne et autres.

Sur une créance de Godin et les frais encourus pour son recouvrement.

Tisserant demande à Éthiou-Pérou de vérifier sa facture du 21 juin 1880 adressée à Jean-Baptiste André Godin.

Tisserant répond à la lettre de Riche à Jean-Baptiste André Godin du 30 juin 1880 sur le paiement réclamé par l'intermédiaire de monsieur Lécole de frais émanant de l'étude de maître Bernier dans une affaire avec Esther Lemaire.

Godin informe le greffier du tribunal de Saint-Quentin qu'il ne se rendra pas à la convocation à la réunion relative à la faillite de Chantereaux, quincaillier à Saint-Quentin, affaire dans laquelle il est créancier pour un montant de 125,55 F.

Godin confirme à Moret qu'il veut, comme Pouillet lui a demandé, se pourvoir en cassation contre l'arrêt rendu le 25 novembre 1879 par la cour d'Amiens dans l'affaire Boucher et Cie de Fumay. Il lui demande le montant de la provision qu'il doit lui verser.

Godin demande au préfet d'accorder son autorisation à l'établissement du port de Longchamps, que son fils Émile a oublié de solliciter en vertu du traité passé le 6 mars 1876 entre lui et l'administration de la Société du canal de la Sambre à l'Oise.

Godin accuse réception de la lettre de Falaize de la veille et de la communication qu'elle contient de la part d'Émile Godin. Un jugement du 8 avril 1879 accorde 400 000 F à Émile Godin ; Godin a versé 355 353, 06 F et se tient prêt à verser le solde de 44 646, 94 F.

Godin envoie à Éthiou-Pérou de nouvelles pièces à imprimer. Il demande que rien ne soit envoyé à Nancy.

Sur l'affaire Boucher et Cie. Tisserant informe Tavernier que l'audience de la cour d'Amiens dans le procès de Godin contre Boucher et Cie aura lieu le 10 novembre 1879. Il lui demande où en sont ses recherches sur le moulage des pièces creuses en fonte de fer et autres métaux.

Tisserant accuse réception de la lettre de Godin de la veille. Il lui retourne la lettre de Ondet, avoué à Châteauroux et syndic de la faillite Gaupard. Il lui indique que les frais de recours sont trop importants pour le recouvrement espéré.

Sur un conflit avec l'administration relatif à l'exploitation des ports sur le canal de la Sambre à l'Oise. Godin demande au ministre de l'autoriser à exploiter le port de Longchamps qu'il a aménagé en 1876 pour le déchargement des matières premières utiles à son usine de Guise. L'inspecteur des ports exige la fermeture du port, pourtant privé et non public, au nom d'un décret ministériel du 13 janvier 1854, que Godin demande au ministre d'interpréter en sa faveur.