Godin répond à la lettre de Bérangé du 18 novembre 1885 : il lui demande s'il est en mesure de se mettre au courant de toutes les opérations de fonderie nécessaires à la fabrication d'appareils de chauffage ; il regrette de ne pouvoir voir Bérangé en raison de son éloignement ; il l'informe que l'usine emploie 300 mouleurs et que le moulage mécanique utilise une puissance de 80 chevaux vapeurs ; il l'assure que s'il le souhaitait, il trouverait facilement un emploi de direction dans la fonderie.