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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à madame Perre, 4 octobre 1861
Godin informe madame Perre que les appointements attachés à l'emploi qu'il offre en ce moment dans son usine n'ont rien à voir avec ceux de la personne candidate. Il indique que celui-ci pourrait prétendre à un emploi supérieur dans son usine s'il réunissait une capacité de direction manufacturière à celle de bon administrateur et s'il était doté d'un caractère facile.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Brochot, 4 octobre 1861
Godin demande à son correspondant s'il a des aptitudes à la direction d'un personnel ouvrier important, s'il a des connaissances en fonderie de seconde fusion et s'il est capable d'exerce la surveillance du travail dans des ateliers de fabrication. Il précise qu'un caractère facile est une condition nécessaire à la direction des ouvriers. Il lui demande le montant des appointements qu'il prétend obtenir.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Brochot, 14 octobre 1861
Godin demande à Brochot ses références professionnelles.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Brochot, 20 octobre 1861
Godin informe Brochot que son usine ne fournit le logement à ses employés que moyennant un loyer et qu'ils ont la liberté de se loger en ville. Il lui demande de confirmer qu'il prétend à 1 800 F d'appointements, la rémunération étant un élément de choix du candidat. Il l'avertit qu'il pourrait lui confier l'emploi de responsable des magasins et de chef des expéditions des produits plutôt que celui de directeur de la fonderie.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Brochot, 28 octobre 1861
Godin précise à Brochot ce que seraient ses fonctions s'il décidait de venir à Guise. Il l'informe qu'il ne l'emploierait pas à la direction de la fonderie, mais qu'il aurait soin de l'emballage des produits, de leur mise en magasin et de leur expédition. Il lui laisse entendre qu'il pourrait ensuite devenir chef des expéditions aux appointements de 1 200 F. Il lui suggère de visiter l'usine avant de s'installer définitivement à Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Brochot, 2 novembre 1861
Godin informe Brochot que sa rémunération s'élèvera à 150 F par mois, plus 8 F pour contribution au loyer de son logement, qu'il accepte qu'il vienne à Guise avant tout engagement définitif, qu'il lui verserait 50 F s'il ne l'embauchait pas et 30 F pour son voyage s'il était embauché.
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