Godin souhaite savoir où Clausse a enseigné et s'il peut se renseigner sur lui dans la commune où il enseigne actuellement. Il l'informe que c'est aux candidats de fixer le montant de leurs appointements, compte tenu que le loyer, le chauffage et l'éclairage de leur logement sont à la charge des employés.

Godin demande à Clausse de venir à Guise pour qu'ils puissent s'entendre. Il l'informe qu'il y a 7 heures de cours par jour dans les écoles du Familistère, que les classes comprennent 30 à 35 élèves, que le prix des loyers des logements est proportionnel au nombre de pièces et que la vie n'est pas bon marché à Guise. Il lui signale qu'il ne pourrait pas donner à Guise des leçons particulières de musique ou de dessin.

Godin avertit Clausse que les embarras que pourraient lui causer l'affaire évoquée dans sa lettre du 22 septembre pourraient l'empêcher d'occuper le poste d'instituteur dans les écoles du Familistère qu'il lui avait accordé.

Godin demande à Clausse pourquoi il n'est pas encore arrivé au Familistère.

Godin assure Clausse que le poste d'instituteur dans les écoles du Familistère est toujours à sa disposition si son affaire connaît une issue favorable. Il lui demande s'il doit attendre le 15 octobre pour prendre une décision.