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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Albert Dauphin, 15 juin 1862
Sur le litige commercial opposant Godin à Pinart et Cie. Godin a à nouveau recours à l'avocat Dauphin pour un procès en appel dans l'affaire Pinart et Cie. Il lui indique qu'il a adressé à Delpech des lettres et un mémoire. Il lui demande de le soustraire à l'obstination de mauvaise foi de monsieur Dewailly [directeur de Pinart et Cie].

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Albert Dauphin, 4 mai 1865
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire. Jean-Baptiste André Godin félicite Dauphin pour sa plaidoirie.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Albert Dauphin, vers le 12 août 1865
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin expose la question de la liquidation de la communauté. Le procès en séparation est intervenu au moment d'un important développement industriel et social. La liquidation de la communauté de biens met l'industrie en péril ; il présente le plan de ses adversaires qui défendent une licitation globale de l'établissement industriel pour le contraindre à le racheter et ainsi le priver de capitaux indispensables ; Godin se demande s'il ne devrait pas abandonner l'exploitation de l'usine. Il expose l'intérêt d'un partage des biens immobiliers, comparé au désastre d'une licitation. Il informe Dauphin que le seul arrangement accepté par Esther Lemaire serait d'être payée de la moitié de la valeur des immeubles, plus la moitié du coût d'édification des immeubles, plus la moitié des bénéfices réalisés depuis la séparation jusqu'à la liquidation définitive ; Godin serait alors contraint d'emprunter pour verser ce qu'il lui devrait ; il devrait constituer une société pour apporter les capitaux à l'industrie ; dans la situation de concurrence de cette industrie, il serait obligé bientôt de considérer les usines et le matériel général comme amortis ; il serait dépendant d'actionnaires avides d'intérêts, situation qu'ont malheureusement connue les usines de Sougland. Le partage permet à chacun d'exploiter ce qui lui revient, tandis que la licitation fait passer dans une main les capitaux liquides et dans l'autre des instruments mais sans les moyens pour les exploiter. Godin écrit qu'il n'espère pas dans la justice, qui n'a pu protéger ses brevets. Godin demande conseil à Dauphin.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Albert Dauphin, 14 juin 1866
Sur l'affaire Jacquet. Godin annonce à Dauphin qu'il a retourné à Delpech ses conclusions avec ses observations qui montrent que l'emploi d'émail au plomb est de la responsabilité de Jacquet. Il l'avertit qu'en première instance, les avocats de Jacquet ont prétendu le contraire en s'appuyant sur un passage du traité passé avec Jacquet, que cite Godin et dont il fait une interprétation différente. Il fait valoir que Jacquet, qui a longtemps séjourné dans l'usine de Guise, a en connaissance de cause choisit le procédé d'émaillage des appareils qu'il a fait fabriquer. Il lui signale enfin que Jacquet fait encore passer des annonces publicitaires dans les journaux pour les appareils qu'il a fabriqués pour lui, présentés comme propres, économes et salubres.
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