Répond par la négative à une proposition faite le 13 mars 1892 par madame Potonié-Pierre de faire partie du comité de la Fédération française des sociétés féministes. Explique qu'elle ne souhaite s'occuper que de l'administration et de l'édition du journal Le Devoir et n'avoir jamais souhaité se mettre en avant. Annonce du congrès de la Fédération dans le prochain numéro du Devoir.

Envoi des vœux pour la nouvelle année. Marie Moret indique à Eugénie Potonié-Pierre que son dernier article du Devoir a été remarqué et a suscité des réactions. Elle lui rapporte dans une longue citation la lettre d'une abonnée.

Marie Moret demande à sa correspondante de ne plus revenir sur l'aide qu'elle lui a apportée par le passé et lui envoie à nouveau un mandat de trente francs.

Marie Moret n'a ni contact à Paris ni travail à donner à sa correspondante et ne peut pas l'aider chaque mois. Lui envoie un mandat-poste

Marie Moret informe madame Potonié-Pierre qu'elle ne peut lui fournir un emploi.

Godin envoie à Eugénie Pierre un chèque de 30 F et un mandat de 4,50 F en règlement des articles publiés par le journal Le Devoir, dont la liste est jointe à la lettre. Il lui rappelle que le journal a pour règle de s'occuper des principes et des choses et non des personnes, qu'il donne sa préférence aux améliorations sociales plutôt qu'à la critique des institutions existantes. La liste copiée sur le folio 374r comprend cinq articles publiés dans les numéros 19, 25 et 27 du premier volume du Devoir et dans les numéros 8 et 9 du deuxième volume.

Godin envoie à Eugénie Potonié-Pierre un mandat postal de 17,10 F en paiement de deux articles publiées dans le journal Le Devoir le 15 décembre 1878 et le 26 janvier 1879.

Godin envoie à Eugénie Potonié-Pierre un chèque de 45,65 F sur la Caisse commerciale en paiement de neuf articles publiés dans le journal Le Devoir.

Godin remet un mandat postal à Eugénie Potonié-Pierre en règlement des articles parus dans les numéros 65 et 79 du journal Le Devoir.