FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Rasetti de lui avoir ouvert les colonnes de son journal et lui adresse un article en réponse à celui du numéro du 9 janvier 1886 du journal de Londres The Spectator. Il lui envoie des documents sur le Familistère : l'étude sociale n° 1, Mutualité nationale et un opuscule lui faisant suite, et un numéro du journal Le Devoir. Il lui propose d'échanger Le Courrier de Londres avec Le Devoir.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle au directeur du Courrier de Londres que le numéro du 16 janvier 1886 de son journal a publié sa lettre au directeur du Times en réponse à des articles sérieux mais l'accusant de matérialisme parus dans le journal. Il lui demande de publier sa réponse à un article du numéro du 9 janvier 1886 du journal The Spectator affirmant qu'il n'a même pas abordé la question sociale.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Rasetti qu'il n'a pas répondu à sa lettre du 21 janvier car il n'avait pas l'occasion de placer des numéros du Courrier de Londres [contenant la réponse de Godin au Spectator]. Il lui annonce que le journal Le Devoir lui est désormais servi en échange avec Le Courrier de Londres.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin s'étonne de ne pas avoir reçu le Courrier de Londres du samedi précédent alors qu'il avait accepté l'échange avec le journal Le Devoir.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse à Rasetti les numéros du journal Le Devoir des 10 octobre 1886, contenant le bilan de l'association du Familistère, et du 6 décembre 1885, contenant les modifications des statuts de l'association, Mutualité sociale et l'étude sociale Le Familistère. Il attire son attention sur la modification de l'article 128 des statuts de la Société du Familistère qui alloue 4 % des bénéfices à l'administrateur-gérant au lieu de 12 % précédemment. Il l'informe que le bilan de 1885-1886 de la Société du Familistère, le plus mauvais depuis 1880 en raison de la crise industrielle, fait apparaître 114 908 F de bénéfices, que le capital a touché 8 280 F de dividendes et que le travail et la capacité ont eu le reste. Sur un article du Courrier de Londres.
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