Godin explique à Rollot qu'il ne comprend pas pourquoi celui-ci lui intente un procès car faute d'autorisation acceptable, ses ouvriers se sont abstenus de faire jouer toute romance et chansonnette dans leurs représentations privées, conformément à la sommation qui lui avait été faite. Godin se demande quel intérêt la société de Rollot peut-elle trouver à faire un procès. Il semble que des vaudevilles ont été joués sans la musique d'accompagnement. Godin lui explique qu'il fait construire une salle de théâtre où se produiront des acteurs du dehors qui donneront des représentations publiques et que les droits des compositeurs des romances et chansonnettes des vaudevilles seront alors payés à la société de Rollot. Godin suggère à Rollot de ne pas davantage s'engager dans un procès injuste inspiré par des haines et des jalousies. Il exprime son souhait de s'entendre avec sa société comme il s'entend avec la société des auteurs dramatiques, malgré la brouille instillée par son agent de Guise.