Godin informe le président du bureau de bienfaisance qu'il verse à la caisse du bureau de bienfaisance une somme de 420 F pour règlement de taxes sur les recettes du Familistère et une somme de 171,54 F qui est le produit de la cavalcade organisée par les habitants le 15 mars 1873. Godin constate que le ralentissement du travail crée des difficultés dans un certain nombre de familles. Il propose de dresser une liste de familles pauvres auxquelles il serait fait chaque mercredi une distribution de pain en son nom et pour son compte pendant la durée de la crise industrielle. Il espère avoir des imitateurs pour éradiquer la misère à Guise.