FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Barthélemy Godin, 24 janvier 1865
Sur la liquidation de la fonderie de Barthélemy Godin. Jean-Baptiste André Godin rappelle à son frère que son intention de liquider son entreprise remonte à plusieurs années et lui fait observer qu'il pourrait éviter de lui servir des phrases entortillées et des insultes pour lui demander de l'aide dans cette liquidation. Jean-Baptiste André Godin voudrait d'abord qu'il soit reconnu qu'il n'est pour rien dans la fondation de la fonderie de son frère, concurrente de la sienne, pas davantage que dans sa ruine, et qu'il a même renoncé à le poursuivre pour contrefaçon et surmoulage. Godin veut bien étudier les propositions de son frère sur le rachat de marchandises et de matériel. Il l'avertit toutefois qu'il ne fera que le strict nécessaire si son frère continue à penser, comme il l'a exprimé dans sa lettre du 19 janvier, qu'il est cause de sa ruine, car il vaut avant tout sauvegarder les intérêts de la population du Familistère.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 24 janvier 1865
Sur les patentes anglaises de Godin. Godin craint que la loi anglaise, qui ne prévoit pas de certificats d'addition, l'oblige à des dépenses importantes pour protéger le procédé d'application des émaux par voie sèche et les modèles de ses cheminées. Il demande à Cantagrel de voir de Fontaine-Moreau et Armengaud à ce sujet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 24 janvier 1865
Sur les patentes anglaises de Godin. Jean-Baptiste André Godin prie Cantagrel de demander à Armengaud de lui remettre son titre de patente en Angleterre.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 24 janvier 1865
Sur les patentes anglaises de Godin. Après avoir reçu une note de monsieur de Fontaine-Moreau, Godin pense qu'il ne pourra prendre une patente en Angleterre sur le procédé d'application des émaux par voie sèche qu'à la condition de faire valoir des applications d'un certain mérite. L'Exposition universelle de Paris de 1867 lui donnera l'occasion de montrer des cheminées émaillées aux industriels anglais. Il s'interroge sur la possibilité de prendre en Angleterre une patente sur son système de cheminée et une patente pour son procédé d'émaillage après avoir déposé un brevet pour les mêmes objets en France et avoir vendu des produits hors d'Angleterre. Godin demande à Cantagrel de lui confirmer qu'il a remis tous ses brevets à monsieur de Fontaine-Moreau.
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