FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Juliette Cros pour son mot du 16 avril 1901 annonçant que Juliette et Antoine Médéric Cros sont bien rentrés chez eux. Elle informe Juliette Cros que Jules Prudhommeaux est aussi de retour à son poste et que le mistral souffle à nouveau. Elle lui demande si elle n'a pas oublié un parapluie. Elle remercie Antoine Médéric Cros pour son aide et signale que Guillaumin et Cie va lui adresser l'article de monsieur Perrin. Marie Moret exprime son affection à la famille Cros. Elle annonce qu'elle reprend sa correspondance avec les bibliothèques de France et de l'étranger. Dans le post-scriptum elle indique que les demoiselles Claude Bernard n'ont pas encore répondu à sa lettre.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Eugénie Louis pour sa lettre du 12 février 1901. Elle l'informe qu'elle a délaissé son « vrai travail » pour écrire aux bibliothèques de France et de l'étranger et leur envoyer les ouvrages qu'elle avait apportés à Nîmes. Elle donne des nouvelles météorologiques : il ne fait pas chaud même si le soleil brûle et le mistral souffle. Sur le classement des collections du Devoir par Eugénie Louis, en attente du beau temps. Sur des travaux domestiques à faire dans l'appartement de Marie Moret au Familistère : les rideaux du lit de Marie Moret à confier à monsieur Hanquet, le sommier du lit, les cordons de tirage à remplacer dans le salon et le cabinet de travail, un rideau du salon. Marie Moret imagine madame Louis et les ouvriers montant à l'usine du Familistère dans la lumière du matin. Elle lui demande de donner des nouvelles d'elle à madame Roger, et signale qu'Auguste Fabre et que Juliette et Antoine Médéric Cros, qui étaient à Nîmes pendant les vacances de Pâques, lui présentent ainsi qu'à madame Roger leur meilleur souvenir. Elle l'informe qu'elle a écrit la veille à Henri Buridant et qu'elle ne reprendra son « vrai travail » qu'à son retour au Familistère.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret accuse réception des trois numéros de la Revue scientifique qu'elle a commandés. Elle constate que le numéro du 14 septembre 1898 ne contient que la première partie du discours de William Crookes et indique que c'est la fin du discours qui l'intéresse. Elle demande qu'on lui adresse le numéro suivant de la revue, en date du 1er octobre 1898, et également le numéro du 13 avril 1901.
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