FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Maistre que le journal Le Devoir a publié ses premiers articles. Il lui fait observer que le journal ne peut publier des opinions sur les questions sociales contraires à ses principes et qu'ainsi il ne publiera pas ses derniers articles sur l'autonomie communale auxquels il aurait préféré une étude comparée des communes anglaises et françaises.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Chevallier que ses articles destinés au journal Le Devoir ne devraient pas s'en tenir à des généralités mais aborder des études utiles et pratiques, par exemple sur les réformes à introduire dans l'enseignement. Il lui fait aussi observer que Le Devoir s'occupe d'enseigner ce qui est à faire pour le bien de tous plutôt que de critiquer le mal sans indiquer de remèdes.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Gosselet du 1er décembre 1878 qui lui demandait une coupe de son sondage de Guise. Il lui explique qu'il a commencé un nouveau sondage pour approvisionner en eau le Familistère et son usine et qu'il avait retardé sa réponse pour lui donner des renseignements plus précis grâce à celui-ci. Ce nouveau sondage traînant en lenteur, il lui promet une réponse prochaine.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin retourne à Marie Drouin le manuscrit de son roman Frères et rivaux. Il lui explique que l'intrigue d'amour ne convient pas au Devoir et que les questions sociales sont à peine abordées dans le roman. Il lui fait en outre remarquer que le caractère de ses personnages n'est pas assez étudié. « Il faut surtout que les questions traitées dans le Devoir le soient au point de vue d'un enseignement utile et pratique, qu'il n'y soit question du mal que pour en indiquer le remède, et qu'on y propose plutôt des moyens d'amélioration sociale que de faire une vaine critique du mal existant. »

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Barré du 1er décembre 1878. Il lui demande de lui fournir des références et lui pose une série de questions sur sa situation professionnelle et personnelle, et aussi s'il fait usage de tabac.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin retourne à Bonnefont la lettre de Pierre Gaétan Leymarie contenue dans sa lettre. Il le prévient que le moment n'est pas favorable aux recrutements. Il lui demande s'il fait usage de tabac, quels appointements il reçoit à Anzin et auprès de qui il pourrait se renseigner sur lui.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Daguet du 28 novembre 1878. Il lui explique que l'administration du Familistère gère les questions de mutualité et d'association et que pour le reste, les familles s'occupent d'elles-mêmes, et aussi que le Familistère n'admet que les familles des ouvriers et employés attachés à l'établissement. Il l'informe que la ville de Guise compte 6 000 habitant·es, qu'elle compte plusieurs établissements industriels mais qu'elle offre moins de possibilités pour un employé que la ville du Mans. Il précise qu'il ne cherche pas de nouveaux employés en ce moment.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Tourasse qu'il ne peut lui indiquer une histoire à l'usage des écoles. Il lui explique que l'article du journal Le Devoir avait justement pour but de stimuler les auteurs à écrire une telle histoire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Pagliardini du 30 septembre 1878 ; il lui reproche d'avoir passé un mois en France sans être venu le voir. Il lui annonce qu'après avoir été en conflit avec sa femme au moment de la construction du Familistère, il est en conflit avec son fils au moment où il va fonder l'association entre le capital et le travail, « c'est-à-dire entre le Familistère et son industrie ». Il l'informe que le journal Le Devoir reçoit de temps en temps des articles de Maistre au 6 Twisden Road à Londres, qui doit être professeur ; il lui demande des renseignements sur ce dernier pour savoir s'il ne s'agit pas d'un condamné politique. Il lui indique que monsieur Melotte lui écrit qu'il pourrait envoyer chaque semaine plusieurs numéros du Devoir en dépôt chez Morel au 56 Charlotte Street, Fitzroy Square, à Londres : il lui demande si la librairie est solvable. Il transmet ses compliments et ceux de Marie Moret à ses sœurs.
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