Moret évoque, à nouveau, la réforme orthographique dont Pagliardini fait la promotion. Elle a trouvé un écho favorable auprès des abonnés au Devoir, où le sujet a été évoqué, notamment auprès d'Édouard Raoux. Marie Moret regrette que les journaux s'intéressent peu au Familistère : « Les anarchistes révolutionnaires obtiennent plus facilement l'attention de la presse que les expériences pacificatrices d'un socialiste millionnaire. » Moret évoque l'ouvrage de Godin à paraître : « Le Gouvernement et les droits de l'homme », avec un résumé des sujets évoqués. Elle apprécie que Pagliardini ait apprécié le travail de monsieur Courtépée publié dans Le Devoir.