FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret informe Émile Venet qu'elle s'est entendue avec Émile Tettier au sujet des travaux à effectuer dans le jardin de sa maison de Lesquielles : remplacement de l'if et taillage des haies. Elle prévient Émile Venet qu'il devra s'entendre avec lui pour l'accès à la propriété.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret envoie à l'imprimeur le compte rendu de l'assemblée générale de la Société du Familistère, à mettre en composition pour le prochain numéro du Devoir, après les « Documents biographiques ». Elle attire l'attention de son correspondant sur la mise en page du compte rendu qui doit être similaire à l'année précédente et demande l'envoi en double exemplaire de ces épreuves afin que l'un soit remis pour contrôle à la Société du Familistère. Même si les épreuves ne doivent pas lui être envoyées, Marie Moret prévient du retour de vacances de Jules Pascaly, domicilié au 41, avenue de Saxe à Paris. En post-scriptum, elle annonce retourner à l'imprimeur le bon à tirer de la 24e feuille du tiré à part des « Documents biographiques » dont elle demande l'envoi d'un exemplaire.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie son correspondant pour sa lettre du 8 octobre 1899 et l'informe qu'elle envoie à la bibliothèque de Nîmes plusieurs ouvrages dont elle dresse la liste. Elle précise que l'Étude sociale n° 1 est actuellement épuisée mais qu'elle constitue le numéro 290 daté du 30 mars 1884 du journal Le Devoir dont elle pourrait envoyer une collection comprenant ce numéro à la bibliothèque.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Jules Prudhommeaux de sa lettre du 5 octobre 1899 et du mot concernant Auguste Fabre. Elle lui demande de prévenir Auguste Fabre de nouveaux ennuis avec Albert Louis et de la convocation d'une assemblée générale de la Société du Familistère le 21 octobre 1899 pour décider de l'expulsion de celui-ci. Marie Moret s'excuse pour la précipitation forcée de sa lettre et pour avoir laissé la lettre de Jules Prudhommeaux du 26 août 1899 sans réponse, de sorte que certains évènements mentionnés sont terminés (service militaire de Jules Prudhommeaux) et d'autres sont en voie d'accomplissement (professorat à Nîmes), tandis que demeure la communion spirituelle qui « échappe ou doit échapper au temps comme à l'espace ». Elle prévient Jules Prudhommeaux qu'elle le sollicitera pour régler des questions touchant le service gratuit du Devoir à Lyon et demande confirmation de l'adresse d'expédition de ses numéros d'août et septembre 1899 gardés en réserve : 14, rue Cart à Nîmes, avec précision de la mention « chez madame Hetzel ». Au sujet d'une lettre de Marie-Jeanne Dallet adressée à Auguste Fabre évoquant l'intérêt de la famille Moret-Dallet pour les travaux de Jules Prudhommeaux. Marie Moret imagine Auguste Fabre très heureux de pouvoir enfin partager son « effusion débordante des visées sociales » avec Jules Prudhommeaux. Elle demande à son correspondant d'informer Auguste Fabre de la réception par la bibliothèque de Nîmes des ouvrages de Godin qu'elle lui a envoyés pour compléter la collection déjà versée par Auguste Fabre. Elle espère recevoir prochainement un mot d'Auguste Fabre et donne des nouvelles de Jules Pascaly.
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