Marie Moret veut savoir quand elle récupérera une montre envoyée en réparation.

Commande d'une jupe de costume et envoi d'un mandat postal de 89 F.

Godin répond à la lettre de Georges Carton du 17 novembre 1885 : il lui envoie pour la bibliothèque des voyageurs de commerce les 5 études sociales ainsi que Mutualité nationale contre la misère.

Godin répond à la lettre de Coucourde du 6 novembre 1885 : il lui envoie Mutualité sociale, l'étude sociale sur le Familistère et le numéro du journal Le Devoir contenant le bilan de la Société du Familistère. Il lui annonce qu'il sera heureux de le voir au Familistère lorsqu'il viendra en France.

Godin informe Foüan-Warnesson qu'il ne peut autoriser son fils à venir faire un essai dans les bureaux de la Société du Familistère de Guise avant qu'il ait pris une décision à son égard.

Godin informe Mignot qu’il peut venir le voir le dimanche prochain pour discuter de la possibilité de l’employer, et qu’il lui remboursera les frais de chemin de fer.

Godin accuse réception de la lettre de Pagliardini relative à la maison Sampson Low, qui lui demande le dépôt de son ouvrage Le gouvernement et d'en faire une distribution aux journaux. Godin pense que la distribution à la presse est une perte sèche. Il demande à Pagliardini ce qu'il a fait des exemplaires du livre qu'il a emportés. Il lui signale qu'il a déjà l'article du Harper magazine et qu'il n'a pas encore répondu à sa lettre du 7 octobre 1885. Il transmet ses compliments et ceux de Marie Moret à Pagliardini, à ses sœurs et à Lucy Latter. Dans le post-scriptum, il indique que Marie Moret a écrit à Lucy Latter.

Godin retourne à Zimmermann les documents sur sa sortie de l'École [des arts et métiers de Châlons-en-Champagne] et lui indique qu'il a plusieurs candidats pour l'emploi.