Godin envoie les factures de ses expéditions des 27 juillet et 21 août 1848 d'un montant total de 382 F et établit le compte de la maison Allez, débiteur de 517 F. Il évoque les conditions de vente pour la saison à venir et demande à Allez quelles sont ses prévisions de commandes.

Godin informe Ormière qu'il lui a expédié la cuisinière demandée d'un coût de 92 F.

Godin évoque la situation des affaires qui ne lui a pas permis de donner suite à ses intentions. Il propose à Gauchet de lui faire une remise de 6 % sur le prix de ses marchandises payées comptant, compte tenu du coût du transport pour Blois. Il lui annonce qu'il peut envisager une remise supérieure dans le cas d'une commande importante.

Godin explique à Foy qu'il n'a pas changé les prix de ses appareils mais qu'il a apporté des perfectionnements de ses fourneaux pour rôtir à la broche et griller la viande. Il lui annonce qu'il lui enverra son tarif dès qu'il sera imprimé, et il l'encourage à passer commande immédiatement.

Godin explique à Buisson que la situation des affaires l'oblige à ne vendre qu'au comptant et lui demande s'il doit lui expédier les cuisinières demandées.

Après l'expédition de marchandises de la veille, le compte de Houlon est débiteur de 1 015,45 F. Godin fait des observations sur le prix des appareils et demande à Houlon quelle modalité de paiement il choisit pour régler sa créance.

Godin explique à Ormière que la cuisinière à 5 ouvertures qu'il lui a expédiée la veille et qui ne figure pas sur le tarif qu'il possède coûte 94 F et qu'il lui a accordé 2 F d'escompte. Il donne des précisions sur le « second foyer » de la cuisinière, propre à brûler le bois.