FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Baude, 23 janvier 1875
Baude a contacté Amédée Moret pour proposer ses services à la direction de l'émaillage de l'usine de Guise. Godin l'informe que l'usine l'a averti que l'atelier avait été organisé sans nécessité d'un nouvel employé, mais qu'il souhaiterait toutefois avoir un entretien avec lui.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Amédée Moret, 23 janvier 1875
Godin informe Amédée Moret que l'usine de Guise lui a indiqué avoir organisé l'atelier d'émaillage de façon à se dispenser d'un décorateur sur émail, mais qu'il désirerait tout de même pourvoir discuter avec monsieur Baude et qu'il lui écrit en ce sens. Il l'informe également qu'il a exprimé son mécontentement sur l'arrangement de la circonscription de Darras, et il lui demande s'il lui convient d'ajouter les villes suivantes à sa circonscription: Crépy-en-Valois, Senlis, Chantilly, Beaumont-sur-Oise, Méru, « Saint-Quentin-sur-Oise ».

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Dequenne, 23 janvier 1875
Godin attire l'attention de François Dequenne, président de la commission administrative du Familistère, sur les approvisionnements en allumettes chimiques du mois de décembre dernier, achetées au prix de 0,76 F le mille alors qu'on les vend 0,56 F le mille à Paris. Il explique qu'il a écrit à Blain-Mariolle de Saint-Quentin qui les a fournies mais que ceux-ci n'ont pas répondu. Godin estime que la Compagnie des allumettes chimiques ne respecte pas la loi du 12 août 1872 selon laquelle il ne lui est pas possible de vendre les allumettes plus de 0,52 F le mille.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 23 janvier 1875
Eugène André souhaite donner un encouragement à Lefèvre : Godin lui rappelle que Lefèvre a eu l'habitude de venir travailler le lundi malade ou en état d'ébriété et il lui demande s'il s'est corrigé sur ce point. Il lui apprend qu'en raison de son avis sur le décorateur en émail, il s'est abstenu d'embaucher quelqu'un. Il veut connaître l'état du compte de Hourdequin, et savoir les travaux qu'il a faits car il a une souscription à régler dans son journal [Le Glaneur (Saint-Quentin, 1858-1896)]. Il lui demande si une lettre de Blain-Mariolle de Saint-Quentin, fournisseur des allumettes chimiques au Familistère, est arrivée à Guise. Il lui demande d'informer Alphonse Grebel que Georges Barral va lui renvoyer son dossier et de remettre une note à François Dequenne.
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