Sur l'affaire de contrefaçon Degon : Godin explique que c'est la septième lettre qu'il écrit à Barral ou à La Démocratie pacifique pour obtenir le renvoi des pièces [relatives au procès] qu'il a confiées à Barral ; il demande qu'on lui donne des nouvelles par le moyen de la « Petite correspondance » du journal, et il fait part de ses regrets « d'avoir pensé à occuper un phalanstérien d'une pareille affaire » et déclare qu'il s'adressera désormais aux « Civilisés ». Godin commande des livres et demande si La Démocratie pacifique veut communication des professions de foi des candidats de l'Aisne aux élections.