FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret demande à la Société des gens de lettres si elle peut, en vertu du traité qui la lie avec la Société, reproduire dans Le Devoir le roman Céphise d'Henry Gréville, à la suite de Deux mondes de Jeanne Mairet, et si la Société peut lui procurer le texte.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret envoie un chèque de 29,65 F aux Grands magasins du Louvre et commande deux paires de gants pour dame aux doigts très longs et un châle des Pyrénées. Elle insiste sur le respect de la pointure des gants afin qu'elle ne leur retourne pas la marchandise.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret informe la banque qu'elle envoie deux chèques : de 3,60 F à V. Boullanger à Paris et de 29,65 F aux Grands magasins du Louvre à Paris.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret accuse réception des articles commandés le 8 novembre 1900. Elle constate que l'envoi comprend deux chaufferettes en forme de pupitre alors qu'elle n'en avait commandé qu'une. Elle demande à G. Renaut et Cie à quel prix ils céderaient la deuxième chaufferette si elle décidait de la conserver. Elle indique que ce montant pourrait s'ajouter à la facture d'une prochaine commande, de veilleuses Carrière notamment.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret écrit à Antoine Médéric Cros à propos de sa lettre du 21 octobre 1899, où il cite la préface d'Henri Poincaré de son livre sur la thermodynamique, qu'elle rapproche du discours du même auteur au Congrès international de physique, « Physique expérimentale et physique mathématique. » Elle relève l'affirmation de Poincaré que l'effet est une fonction continue de la cause ; elle pense qu'il faut aller « plus profondément » que la particule pour expliquer le fond des choses, car la particule est un effet ; elle comprend avec Berthelot que les corps simples sont des valeurs multiples indéfiniment transformables. Elle imagine que les modes divers de l'énergie « ont jusqu'à l'intelligence et la conscience dans la vibration nerveuse », en se référant à Charles Richet et Colding. Elle cite William Crookes, « dans la vie, je vois la promesse et la source de toutes les formes possibles de la matière », qui se rapproche du fond des choses selon elle. Elle conclut : « Alors le principe même de la Vie, celui qui est en soi et non par quelque autre, la source des lois immuables dans l'Univers, l'Inconditionné, celui par qui existe le relatif, tel est le problème à envisager. En face de lui, homme ou particule, tout système est régi par de mêmes lois ; c'est l'Unité universelle. "Les manifestations vitales sont des complexes des propriétés physico-chimiques" a dit Claude Bernard. » Elle envoie les affectueuses pensées de la famille Moret-Dallet à Antoine Médéric Cros et à Juliette Cros, et signale à celui-ci qu'Auguste Fabre vient de recevoir une lettre de celle-ci.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret envoie à V. Boullanger un chèque de 3,60 F et commande 12 nœuds d'officier d'Académie.

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