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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 27 novembre 1846
Godin écrit au sujet d'une question de contrefaçon par un concurrent des produits de sa fabrication fondée sur trois brevets de 1840, 1844 et 1846, en indiquant que ce problème personnel n'est pas indifférent à la cause phalanstérienne. Il informe ses correspondants que son concurrent pourrait faire venir de Paris les ingénieurs Chevalier et Migné et leur demande s'ils connaissent parmi les phalanstériens de Paris des personnes ayant des connaissances théoriques et pratiques en caminologie qui pourraient intervenir en qualité d'experts dans cette affaire. Il précise que le tribunal désignera les experts le 2 décembre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 27 novembre 1846
Godin écrit au sujet d'une question de contrefaçon par un concurrent des produits de sa fabrication fondée sur trois brevets de 1840, 1844 et 1846, en indiquant que ce problème personnel n'est pas indifférent à la cause phalanstérienne. Il informe ses correspondants que son concurrent pourrait faire venir de Paris les ingénieurs Chevalier et Migné et leur demande s'il connaissent parmi les phalanstériens de Paris des personnes ayant des connaissances théoriques et pratiques en caminologie qui pourraient intervenir en qualité d'experts dans cette affaire. Il précise que le tribunal désignera les experts le 2 décembre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules-Charles Godon, 19 janvier 1847
Sur l'affaire de contrefaçon Degon : Godin indique à Godon qu'il voudrait éviter de se rendre à l'audience du tribunal de Laon et il lui communique les renseignements en sa possession sur l'affaire Degon ; Degon a sollicité la nomination d'experts de Paris et a proposé les ingénieurs Chevallier, fabricant de fourneaux rue Saint-Antoine, et Migné ; le procureur du roi n'y était pas favorable ; Godin se méfie des experts car les fabricants d'appareils de chauffage sont ses concurrents ; il fait référence à un article de Jobard sur les brevets paru dans la Démocratie pacifique du 3 janvier 1847 ; Godin a choisi deux anciens élèves de l'École des arts et métiers de Châlons[-en-Champagne], Barbier, agent-voyer à Vervins, et Michon, professeur chez Baudouin, qui ont été nommés par le tribunal ; Godin cherche des renseignements sur le troisième expert désigné par Degon. Godin informe Godon qu'Oudin-Leclère vient d'entrer chez lui et lui dit qu'il devrait se rendre auprès de Godon à Laon le samedi suivant. Godin ajoute qu'au moment où il était question de nommer des experts de Paris et avant qu'il soit décidé à nommer des experts du pays, il avait obtenu l'accord de Barral pour servir d'expert. Il indique qu'Oudin-Leclère lui dit que Degon souhaite écarter un des experts, et il loue la loyauté de Grain aîné.
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