FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à madame veuve Laporte, 2 juillet 1897
Réponse au télégramme de madame Laporte du 1er juillet 1897 : les manuscrits envoyés ne sont pas arrivés et se sont égarés en route. Envoi d'épreuves corrigées pour le numéro de juillet 1897 du Devoir. Sur la publication dans Le Devoir de la suite de Sans famille. Rappelle que l'imprimerie doit envoyer un exemplaire du journal à Pascaly et à Moret dès que le numéro sort de presse. Accuse réception de la 5e feuille des « Documents biographiques ». Sur l'avenir de l'imprimerie Veuve Laporte : « monsieur Émile » [fils aîné de madame Laporte] a informé Marie Moret de l'intention de madame Laporte de céder l'imprimerie et que lui-même avait l'intention de chercher un emploi dans une autre imprimerie, peut-être chez Dubois et Cie à Saint-Quentin (Aisne) ; Marie Moret indique qu'elle témoignera favorablement des qualités d'Émile Laporte si on lui demandait des renseignements sur son compte.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à madame veuve Laporte, 8 juillet 1897
Réponse à la lettre de madame veuve Laporte du 6 juillet 1897. Envoie un chèque de 197 F pour solde d'une facture du 6 juillet 1897. Demande de préparer une épreuve pour la brochure Le Féminisme. Accuse réception des exemplaires du numéro de juillet 1897 du journal Le Devoir. Fait référence aux réflexions de « monsieur Émile » [Émile Laporte] dans la lettre du 6 juillet et évoque le devenir de l'imprimerie veuve Laporte.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à madame veuve Laporte, 1er août 1897
Réponse à la lettre de madame veuve Laporte à propos du stock de feuilles de papier pour l'impression du Devoir : Marie Moret calcule qu'il ne devrait plus rester de papier en magasin après l'impression du numéro d'août 1897 du Devoir, de la brochure de Fabre sur le féminisme et du tiré à part des « Documents biographiques » ; question à réexaminer après impression. Sur la cession de l'imprimerie de veuve Laporte : Marie Moret indique qu'elle a étudié le transfert du Devoir à une autre imprimerie depuis la mort de Jules Laporte ; le départ de son fils aîné et la question du service militaire de son second fils, enfin la marche incertaine de l'imprimerie ont entretenu le désir d'un transfert, décidé dès que le fils aîné de madame Laporte lui a annoncé la cession de l'imprimerie. Marie Moret souhaite à madame Laporte de régler avantageusement ses affaires et de conclure leur collaboration en bon accord.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Édouard de Boyve, 16 août 1897
Informe de Boyve que Fabre est partie du Familistère pour aller chez sa fille à Castelsarrasin, où elle a fait suivre la carte postale du 14 août 1897 adressée par de Boyve à Fabre. Sur le changement d'imprimeur du Devoir : réponse à la demande de renseignements faite par de Boyve. Marie Moret fait l'historique du changement d'imprimeur du journal Le Devoir : averti par le fils Laporte, que veuve Laporte allait céder l'imprimerie ; après le décès du père, le départ du fils aîné et l'incertitude de la situation du second fils en raison du service militaire, elle avait perdu confiance dans la solidité de la maison Laporte et pensait à changer d'imprimeur ; elle a essayé de faire imprimer le journal à Paris grâce à Pascaly, mais elle s'est finalement entendue avec l'imprimerie Chastanier à Nîmes ; la décision de changer d'imprimeur est ainsi indépendante des successeurs de veuve Laporte et elle est intervenue avant d'avoir connaissance du plan des ouvriers de Laporte. Elle fait remarquer à de Boyve que Le Devoir « est une revue d'un bien insignifiant tirage : 300 exemplaires ».

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Piponnier, 26 octobre 1895
Marie Moret indique à Antoine Piponnier qu'Émile Laporte lui a dit avoir adressé le manuscrit et les épreuves du compte rendu de l'assemblée générale de l'Association du Familistère à François Bernardot. Marie Moret expose à Piponnier une synthèse de ses recherches sur l'historique des récompenses versées au profit du travail à l'occasion de la fête du Travail du Familistère depuis 1867, et elle sollicite son concours pour compléter les informations qui lui font défaut. Elle définit trois périodes : de 1867 à 1875, 2000 F sont alloués aux travailleurs, à l'organisation d'un banquet ou aux familles nécessiteuses ; de 1876 à 1880, répartition de dividendes ; à partir de 1880, 2 % des bénéfices sont mis à disposition du conseil de gérance pour récompenser des services exceptionnels.
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