Godin annonce à Vigerie qu'il n'a pu lui répondre avant son départ de Paris. Il lui demande de ne pas perdre son temps à acheter des fournitures pour le Familistère – brosses, éponges, balais de crin et caoutchouc pour lier le papier monnaie – qu'il est possible d'acheter auprès des fournisseurs de l'usine. Il lui remet un plan de cartonnier à faire réaliser chez les Ébénistes associés et lui demande de s'occuper du mobilier de l'asile du Familistère. Il l'informe que madame Piétremont lui a écrit qu'elle ne pourrait pas venir avant un mois et il juge que ce retard nuit à l'éducation des enfants. Il lui demande de s'entretenir avec elle de la manière de meubler l'asile et lui rappelle que des porte-tableaux ont déjà été fabriqués à Guise.