FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henri Buridant, 11 avril 1897
Émilie Dallet a écrit à Buridant à propos de la proposition de monsieur Tardier relative à son jardin. Diverses questions touchant au Devoir : arrêt d'abonnement de monsieur Arnal (Gard) ; renouvellement des abonnements de messieurs Pagel (Oise), Claude Ferdinand (États-Unis) et Irénée Priqueler (Haute-Saône) ; sur la circulaire et le journal annoncés par Claude Ferdinand. Sur la réception par Marie Buridant du petit poisson qui lui était destiné. Sur le mal dont souffre monsieur Rousselle. Le beau temps tarde à venir. Compliments à la famille Rousselle et à mesdames Louis, Allart et Roger. Réception de la lettre de madame Louis du 5 avril 1897 : Marie Moret s'est entendu avec monsieur Picot pour la chaise longue de son appartement. En post-scriptum : questions sur le nombre de récompenses exceptionnelles distribuées à la fête du Travail, et sur le déroulement de la fête du Travail.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Jullien. Jullien prétend que la Société du Familistère a empiété sur ses droits et exige 20 000 F pour la cession de son brevet sur les suspensions. Godin préconise à Bernardot de rechercher une solution à l'amiable avec Jullien, par exemple par un système de redevance sur chaque suspension vendue ou en établissant la différence entre le brevet de la Société du Familistère pour les suspensions en fonte et celui de Jullien pour les suspensions en cuivre.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Jullien. Godin critique la nature des négociations menées par Bernardot avec Jullien : Godin souhaite obtenir une cession pleine et entière du brevet de Jullien à la différence des traités passés avec Portway et avec Henry. Il lui communique un projet de contrat à compléter avec Pouillet. Sur la contrefaçon d'un système de fermeture de portes de cuisinières. Dans le post-scriptum, Godin annonce à Bernardot qu'il a reçu une offre d'Arnal pour la cession d'un immeuble à l'angle des rues du Louvre et Étienne-Marcel au prix de 1 400 000 F. À la suite de la lettre, sur les folios 276r et 277r, est copié un projet de contrat intitulé « Cession d'un brevet pris par M. Jullien, demeurant à Paris ».
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