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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 22 juin 1860
Godin transmet à Brullé les prix de revient de l'usine de Guise qui doivent être appliqués à Laeken, qui jouit par ailleurs de l'avantage d'acheter moins cher les matières premières, fonte, fer, tôles, charbons. Il précise à Brullé le prix des modèles en fonte, en fer ou en cuivre. Il lui communique le coût de 10 tonnes de fonte livrées à Laeken par de Dordolot frères ; il lui demande si l'usine de Guise doit payer la facture et, dans ce cas, de lui indiquer le coût de la cuisinière livrée à de Dordolot frères, pour le soustraire au paiement. Il lui signale qu'il va commencer à fabriquer le modèle pour Besson de Saint-Pétersbourg. Godin demande à Brullé de conserver pour Moerenhout l'argent destiné initialement à sa femme et d'envoyer un mandat postal de 70 F à madame Moulard à Céroux-Mousty.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Collin, 13 mai 1861
Godin informe Collin que lui et Wallerand se sont abstenus de toute démarche car ils ont appris que la commission d'enquête se proposait d'agir seule, et que Demadrier, Besson et Chenest ont demandé audience au ministre et non à l'Empereur, de laquelle rien n'est sorti : « La vanité et les questions de personnes sont toujours à la traverse de l'intérêt véritable des questions. Cela sera sans doute cause que la démarche collective des intéressés du Nord et de l'Aisne que nous aurions voulu organiser n'aura pas lieu auprès du Gouvernement. » Godin ajoute qu'il a appris dans les bureaux du ministère que la question de ce chemin de fer ne resterait pas longtemps en suspens.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Beretti, 12 janvier 1873
Godin répond à la lettre de Beretti du 27 octobre 1873. Il s'étonne que Beretti ait pris ses renseignements à de mauvaises sources alors qu'il se trouvait à Guise. Godin conteste le fait qu'il y ait eu des grèves dans son établissement et qu'il fait en sorte que les ouvriers puissent exprimer chaque jour leurs prétentions et leurs besoins pour éviter que les difficultés s'accumulent. Il lui indique que le marchand russe qui en 1858 est resté son débiteur dans les affaires faites avec lui est Besson, mécanicien, « grande Melchansky au coin de Novoi Péréoulk, maison Karaloff à Saint Pétersbourg ».

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Étienne Louis Joseph Quaintenne, 2 février 1874
Sur une proposition par Quaintenne d'une entreprise d'exploitation minière en Algérie : Godin ne veut pas se lancer à la légère ; il informe Quaintenne qu'il laisserait le soin à son fils Émile de conduire l'entreprise après qu'il ait réuni tous les renseignements nécessaires. Godin s'interroge sur le fait que le propriétaire des terrains, un homme très intelligent nommé Besson, n'en ait pas déjà tiré parti, et il se demande avec qui Quaintenne traiterait en Algérie puisque Besson habite en France.

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