Godin informe Leborne que le bateau de coke de Monceau-Fontaine est arrivé avec son chargement couvert mais que le coke était trempé alors qu'un bateau arrivé du bassin de Mons était chargé d'un coke très sec. Godin annonce à Leborne qu'il refuse de décharger le coke jusqu'à ce que la société de charbonnage ait envoyé un représentant pour constater le fait et lui accorder l'indemnité qui lui est due. Il lui signale dans le post-scriptum qu'il a écrit à monsieur Bivort.