Marie Moret le prie de hâter la publication de son dictionnaire de volapük qu'elle a commencé à étudier mais son étude est ralentie par l'absence de dictionnaire. Elle lui demande de lui donner une indication sur la date de publication.

Accuse réception de la lettre de Buridant du 21 avril 1897. Marie Moret en accord avec Buridant pour sa réponse aux demandes de monsieur Le Soudier et du Groupe d'études socialistes de Beaune. Marie Moret va envoyer au Groupe d'études socialistes de Beaune des brochures, dont Contrat de salaire et Concurrence asiatique. Adresse à Buridant les remerciements d'Émilie Dallet pour les informations touchant monsieur Bertrand (au Cateau) et son jardin. Sur « l'affaire Albert Louis » : demande si le ménage Louis est encore au Familistère et questionne Buridant sur une plainte pour menace envers un supérieur.

Commande plusieurs ouvrages : Manuel à l'usage des Français pour étudier l'esperanto par de Beaufront (à la librairie Le Soudier, 174, boulevard Saint-Germain à Paris) ; Remords d'avocat par Masson-Forestier ; Les actes de Diotime par Jules-Philippe Heuzey.

Réponse aux lettres de Buridant des 8 et 9 janvier 1896. Préparation du numéro de février 1896 du journal Le Devoir. Divers sujets relatifs à la librairie et aux abonnés du Devoir : envoi d'un mandat de Capdeville ; accorder une remise à Capdeville et à Le Soudier ; envoi de numéros spécimens du Devoir à Capdeville ; inscription au registre des abonnés au Devoir de Don Manuel Navarro Murillo, Calle de Paris 1 Pral. à Séville (Espagne) et de Poulot de Paris ; suppression de Faugier de Bourg-lès-Valence ; réabonnement d'Albarracín. Félicite Buridant pour la qualité de l'écriture de la lettre envoyée par sa fille Marie, lue en présence de Jules Pascaly, à Nîmes depuis deux jours avec son fils de 9 ans. Températures froides à Nîmes. Dans le post-scriptum, Marie Moret indique le changement d'adresse de Pierre Martin, instituteur, abonné à titre gratuit ne résidant plus à Cheval-Blanc (Vaucluse) mais à Saint-Didier (Vaucluse) ; elle fait référence au pauvre Ovide Lommert ; elle demande à Buridant si le journal est lu à la bibliothèque du Familistère et si des lecteurs le réclame, par exemple monsieur Drecq.

Réponse aux lettres de Buridant des 25 et 30 janvier 1896. Informe Buridant qu'elle a écrit à Th. Pascal, directeur du Lotus bleu à Toulon (Var), pour lui confirmer qu'elle souhaite continuer l'échange avec Le Devoir sans s'engager à publier le sommaire du Lotus bleu. Informe Buridant que L'Humanité intégrale remplace La Revue immortaliste. Prend note des encaissements sur le compte du Devoir et accuse réception de son compte au Familistère. Le titre L'Âme remplace L'Étoile de Jhouney à Saint-Raphaël (Var), qui échange avec Le Devoir ; ajouter la qualité de directeur de L'Âme à René Caillié, qui bénéficie déjà du service gratuit du Devoir. Sur les exemplaires disponibles du Devoir. Sur l'Étude sociale n° 2, épuisée, demandée par Le Soudier, et l'Étude sociale n° 3.