Godin fait part à Bivort de difficultés sur la réception d'un bateau chargé de coke : Godin avait demandé à Leborne que le coke soit sec ; le coke a été chargé dans un bateau couvert, mais il était trempé à l'arrivée ; Godin conclut à un arrosage du minerai avant chargement. Godin refuse de prendre livraison du coke avant qu'il ne soit tenu compte du coût supplémentaire du fret et du poids de l'eau contenue dans le coke. Il compare l'expédition de Bivort avec un bateau de coke sec arrivé du bassin de Mons et transporté par chemin de fer jusqu'à Hautmont.