Marie Moret accuse réception de la lettre de Marie-Jeanne Dallet datée du 29 mai 1900 adressée à sa mère, et confirme la lettre envoyée par Émilie Dallet du même jour. Le temps est gris et froid à Guise mais Émilie Dallet et elle se projettent dans la description des promenades de Marie-Jeanne Dallet et lui souhaite de continuer de s'amuser « à plein cœur. » Marie Moret revient sur sa lettre du 28 mai dans laquelle transparaissait sa vive émotion [de n'avoir pu rassurer Marie-Jeanne Dallet de leur bonne arrivée à Guise] mais qu'elle souhaite désormais oublier pour que sa correspondante passe de bonnes vacances. Sur le séjour de Marie-Jeanne Dallet à Corbeil : Adèle Herbron, cousine de Marie Moret, s'occupe bien d'elle ; visite « aux Beaux-Arts ». Marie Moret donne ensuite des nouvelles du Familistère : réception d'une lettre de Jules Pascaly, sa femme est toujours souffrante ; rencontre avec Héloïse qui transmet ses affectueuses pensées à Marie-Jeanne Dallet et discussion autour de « Matière, mode de mouvement » ; lecture des numéros de la Revue générale des sciences pures et appliquées parus depuis janvier 1899.