Sur la séparation des époux Godin-Lemaire. Godin informe Cantagrel que l'enquête est ordonnée dans le procès qui va subir de nouvelles lenteurs. Il lui demande un service relatif à un brevet, service auquel il attache une assez grande importance : il s'agit de savoir si les charpentes des combles du vieux Louvre contiennent des voussures en fonte de fer, si elles sont de grandes dimensions et si elles sont rouillées. Il demande des nouvelles de sa cheminée.

Jean-Baptiste André Godin souhaite obtenir l'avis de Cantagrel sur la cheminée qu'il lui a expédiée pour savoir comment orienter la production. Il lui propose de compléter avec d'autres cheminées l'exposition de son petit local avant de solliciter des architectes. Il lui demande de prendre le plus grand soin au déballage des cheminées. Sur les voussures en fonte de la charpente du vieux Louvre : Godin avait espéré que Cantagrel aurait pu voir la charpente par lui-même en soudoyant un gardien ; il lui explique que cela est en rapport avec ses émaux pour lesquels il va prendre un nouveau brevet et qu'il voudrait dire ce que seraient ces ouvrages en fonte avec ses procédés.

Sur les voussures en fonte du vieux Louvre. Après réception d'une lettre du secrétaire de César Daly, Godin demande à Cantagrel de ne plus s'occuper de la question car son information sur la présence de fonte dans la charpente du vieux Louvre était sans doute erronée. Il lui explique que le mémoire de son nouveau brevet serait utile à Cantagrel dans son étude des cheminées. Il compte développer de nouvelles affaires avec ses travaux sur la chimie. Godin demande à Cantagrel quel est le plus ancien édifice de Paris dans lequel on pourrait trouver de la fonte, pour pouvoir l'évoquer dans son mémoire descriptif du brevet.