FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret informe Juliette Cros que son père Auguste Fabre, en bonne santé, se trouve désormais à Paris, chez Jules Pascaly qui l'a retrouvé à la gare du Nord le matin, et qu'il la rejoindra après le congrès des femmes. Elle remercie Juliette Cros pour son information du 31 août 1900 sur l'état de réception de la brochure Le Familistère illustré, et pour un envoi de pêches, dont certaines étaient gâtées. Elle lui rappelle que les fruits abondent dans le pays [de Guise]. Elle lui indique que la fête de l'Enfance a été charmante et qu'elle en fera le compte rendu dans Le Devoir, qu'il fait un temps superbe à Guise, et que Marie-Jeanne Dallet va en profiter pour se promener « avec les compagnes en vacances ». Transmet les affectueuses pensées de la famille Moret-Dallet à Juliette et Antoine Médéric Cros ainsi qu'à Jules Fabre. Dans le post-scriptum, Marie Moret évoque la lettre à Antoine Médéric Cros jointe à sa lettre, le congrès de psychologie [dont Juliette Cros parle dans sa lettre à Marie Moret du 28 août 1900], et l'amélioration de la santé de Juliette Cros après la fatigue ressentie pendant son voyage à Paris.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Juliette Cros pour la nouvelle caisse de pêches, arrivées en parfait état. Elle indique à Juliette Cros que la famille Moret-Dallet s'apprête à déguster la courge envoyée par Auguste Fabre et arrivée trois jours auparavant, au moment où madame Louis avait justement fait provision de courges du pays. Elle souhaite que le temps soit aussi superbe à Castelsarrasin et à Nîmes qu'il l'est à Guise. Elle attend une lettre d'Auguste Fabre à propos de clichés se trouvant à Nîmes. Elle a bien reçu les lettres de Juliette Cros et de Fabre expédiées de Castelsarrasin les 15 et 17 septembre 1900, et elle évoque le travail fait sur des chaises par Auguste Fabre et Antoine Médéric Cros. Elle signale à Juliette Cros que le numéro d'octobre du journal Le Devoir contient le compte rendu de la fête de l'Enfance [à laquelle cette dernière a assisté]. Elle l'informe qu'elle n'a encore rien lu d'intéressant à lui communiquer sur le Congrès de psychologie. Le texte manuscrit au crayon bleu sous la signature de la copie de la lettre est un post-scriptum par lequel Marie Moret remercie Juliette Cros pour un nouvel envoi de pêches arrivé après qu'elle ait achevé sa lettre et lui signale que les fruits murissent rapidement.
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