Les cartes de visite que Buridant annonçait avoir envoyées dans sa lettre du 6 janvier 1897 ne sont toujours pas parvenues à Marie Moret.

Marie Moret complète sa commande précédente du 16 novembre 1887 avec : 100 feuilles de papier à lettres semblables à celle sur laquelle elle écrit et 100 enveloppes assorties. Dans le post-scriptum, elle ajoute à la commande trois albums buvard L'Indispensable pour 1888.

Commande de 500 feuilles de papier à lettres à en-tête, avec les enveloppes assorties et moins transparentes que celles dernièrement livrées

Envoi du bon à tirer d'un papier à lettres à tirer à 500 exemplaires et d'un chèque de 11,35 F.

Envoie 0,75 F pour solder la facture du 19 décembre 1896. Se plaint de la façon dont la commande de papier a été expédiée, à ses frais, l'obligeant à deux règlements.

Réponse à la lettre de monsieur F. Unzel du 13 octobre 1897 : envoi d'un chèque de 12,60 F pour la commande de : 100 enveloppes sacs avec caoutchouc de 15,5 cm par 22,5 cm ; 100 enveloppes paquets en cuir avec élastiques aux angles de 25 cm par 32 cm.

Marie Moret sans nouvelle d'Émile Acker depuis le retour du bon à tirer corrigé de l'épreuve d'en-tête de lettre du 23 novembre 1896. Envoie un chèque de 10 F pour solder la commande des 500 feuille de papier à lettres avec en-tête.

Demande à Unzel s'il vend par centaine les enveloppes sachets « Graves » de 20 cm sur 15 cm dont elle a un exemplaire, à quel prix il les vend et s'il les fournit sans inscription.

Marie Moret demande à son correspondant de lui fournir 500 feuilles d'un papier à lettres à en-tête identique à celui qu'il lui a fourni il y a un an, de lui envoyer un spécimen pour le bon à tirer et de lui confirmer le prix de 10,85 F pour cette commande. La note au crayon bleu dans la marge indique que Marie Moret a envoyé un télégramme à Émile Acker pour lui confirmer sa demande.

Accuse réception du papier à lettres commandé mais sa nuance et sa réglure diffèrent de celles du papier qu'elle utilise actuellement. Demande l'envoi d'un spécimen de papier à en-tête pour bon à tirer. Confirme qu'elle n'a pas besoin d'enveloppe. En post-scriptum, précise que son principal domicile est le Familistère, il faut donc que l'en-tête soit similaire à celui de la lettre qu'elle envoie à Émile Acker.

Passe commande de papier à lettres identique à celui sur lequel elle écrit sa lettre. Demande le prix pour 500 feuilles et le délai de livraison.

Envoi d'un mandat postal pour une commande de 3 chemises, 1 boîte de 50 cartes de correspondance avec enveloppes, 1 boîte de papier de correspondance et 200 feuilles indispensables.

Marie Moret retourne à Jaluzot et Cie l'échantillon de tissu de son choix pour la confection d'une jupe ornée de perles. Elle fait des prescriptions pour la confection du vêtement. Elle envoie un mandat postal de 137 F en paiement de la jupe, de deux cache-corsets et d'une boîte de cartes de correspondance avec enveloppes.

Envoi d'un mandat postal d'un montant de 4,25 F pour une commande de 400 feuilles de papier indispensable. Rappelle son envoi d'un mandat de 52,30 F du 27 juillet 1887, soldant une facture du 23 juillet.

Marie Moret accuse réception des trois serviettes de notaire, dresse un bilan des deux factures déjà réglées par chèque à Émile Acker et envoie 0,75 F en timbres postaux pour solder la dernière facture.

Commande 100 feuilles de papier à lettre semblables à celle sur laquelle elle écrit et 100 enveloppes semblables à celle qu'elle envoie.

Marie Moret explique à Fortin et Cie que le papier anglais Fortin sur lequel elle écrit ne la satisfait pas car il laisse percer l'encre au verso et parce qu'il ne permet pas, en cas d'erreur, d'effacer rapidement l'encre avec de l'eau de javel. Elle souhaite que Fortin et Cie lui fournisse des feuilles d'un papier qui permette l'effacement et les enveloppes assorties : 100 feuilles à en-tête in-4° doubles et 100 feuilles à en-tête d'un plus petit format qui permette de copier deux pages d'un coup. Elle commande également du papier indispensable, un registre de dépenses journalières, des sangles de bureau, un classeur Shannon complet, des chemises à dos percaline, des aiguilles de bureau, un nettoyeur chimique. Dans le post-scriptum, elle demande que les feuilles in-4° doubles soient, une fois timbrées, d'un poids inférieur au poids réglementaire de 15 grammes.

Demande d'envoi d'un catalogue complet et récent des articles vendus par Fortin et Cie. Marie Moret souhaite connaître le prix de 100 feuilles de papier à lettres identique à celui sur lequel elle écrit avec une inscription au modèle qu'elle joint, ainsi que le prix de la centaine d'enveloppes assorties.

Accuse réception des deux serviettes pour notaires commandées le 23 juillet 1897 et envoie un chèque de 13,60 F pour la commande d'une serviette de plus grandes dimensions (35 cm).

Marie Moret demande à Picot des renseignements sur une glace à 80 F et une glace à 170 F. Elle lui demande quand il pourra lui livrer la petite table à porter la presse à copier.

Commande de deux serviettes pour notaires et de 100 enveloppes administratives pour un montant de 25,25 F.

Demande l'envoi d'une boîte de papier pelure.

Envoie 1,45 F en timbres-poste pour solder la facture du 28 août 1896 ainsi qu'un appoint de 0,40 F pour le renvoi des crayons Faber 6B reçus contre les mines Faber 6B commandées. Retourne les deux douzaines de crayons reçus dans une caisse en bois ainsi qu'un étui vide de mines Faber 6B.

Presse l'envoi de la commande du 16 août 1896.

Réception du catalogue et du tarif de A. Masson et fils. Elle demande pourquoi leur courrier l'a désigné comme « veuve ». Elle envoie un mandat postal de 2,50 F pour recevoir deux grosses de plumes. Dans le post-scriptum, elle indique qu'elle transmettra le catalogue et le tarif aux bureaux de la Société du Familistère Godin et Cie, au cas où la direction serait intéressée par un produit.

Précise à Émile Acker qu'il faut mentionner « Vve Godin au Familistère » dans l'adresse d'expédition pour éviter la confusion avec les autres veuves Godin de Guise. Envoie un chèque de 37,35 F pour la commande de 20 ramettes de papier pelure collée et satinée et de plusieurs fournitures de bureau et matériels d'écriture.

Marie Moret n'étant pas satisfaite des autres fournisseurs auxquels elle s'est adressée, demande si Émile Acker peut lui fournir du papier pelure collé et glacé « dans des conditions toujours satisfaisantes ». Demande le prix pour 4 ramettes.

Commande de matériel d'écriture : papier à lettres, enveloppes, sangles de bureau, perforateur, abat-jour pour bougies.

Sur la fourniture de papier à lettres in-4° de 27 x 21 cm en feuille double et d'enveloppes assorties.

Envoie 2,50 F en timbres postaux pour la commande d'une ramette de papier.

Renvoie à Émile Acker le bon à tirer de l'épreuve des cartes qu'elle vient de recevoir. En l'absence des échantillons de papier promis, elle commande : 100 cartes « deuil n° 1 » sur bristol français et 100 cartes « deuil n° 1 » sur ivoire anglais. Adresse un chèque de 13,75 F à Émile Acker.

Demande à Émile Acker de donner suite le plus tôt possible à sa commande du 30 mai 1897.

Envoie un chèque de 17,25 F pour la commande de plusieurs fournitures de bureau et de serviettes indispensables.

Réponse à la lettre d'Émile Acker du 28 mai 1897 : Marie Moret d'accord avec la proposition relative à la fabrication d'une planche pour l'impression de cartes de visite, au prix de 4 F ; demande un échantillon des papiers proposés - bristol français et ivoire anglais.

Demande l'envoi du catalogue des fournitures de bureau de monsieur Acker.

Marie Moret demande à son correspondant s'il peut imprimer 100 cartes de visite identiques à celle qu'elle joint à son courrier et quel en serait le prix.

Demande à Fortin et Cie de régulariser le paiement de la facture reçue le 19 mai 1896 pour laquelle elle leur a envoyé un chèque le 6 mai 1896.

Envoie 2 F en timbres postaux pour la commande d'un flacon d'essai d'encre copiant sans presse ni mouillage.

Envoie à Fortin et Cie le bon-à-tirer pour le papier à lettre demandé en 500 exemplaires ainsi qu'un chèque de 10,18 F pour solder la facture de la commande, à expédier au Familistère de Guise.

Marie Moret n'est pas satisfaite des cartes envoyées par Fortin et Cie en février 1896. Commande de 500 feuilles de papier à lettre similaires à celle de la lettre envoyée et « dans des conditions irréprochables ».

Presse l'envoi des cartes de visite commandées le 13 janvier 1896.

Envoie un chèque de 9 F en paiement de cartes de visite.

Envoi d'un chèque de 11,35 F pour la commande d'enveloppes bulles et de papier buvard.

Fait référence à sa lettre du 8 janvier 1896 et aux 0,85 F qui l'accompagnaient. Passe commande de 200 cartes de visites semblable à celle jointe à la lettre. Demande de lui soumettre un bon à tirer.

Adresse un chèque de 26,15 F à Fortin et Cie et commande divers articles : attaches métalliques, poinçon spécial à ligne triangulaire, bloc pour peinture à l'huile, blocs notes, cure-dents, papier buvard, épingles, 2 porte-monnaie portefeuille.

Sur le progrès que constitue le contrôle continu des étudiants par rapport aux examens que redoute Gaston Piou de Saint-Gilles ; encouragements prodigués à Gaston. Nouvelles diverses : envoi de brochures à monsieur Vasseur ; un article de Fabre dans L'Émancipation ; envoi d'un article sur les mines de Westphalie à Jules Pascaly ; important article du Devoir du mois. Description de la nuit et du ciel étoilé à Lesquielles-Saint-Germain.

Marie Moret demande si elle peut obtenir une table avec tiroir et 3 casiers à registres pour une presse à copier en poirier, assortie à un mobilier en acajou.

Demande la fourniture de papier à lettre dit papier pelure aussi mince mais de meilleure qualité que celui de la maison Laroche-Joubert que son papetier local lui procurait jusqu'ici : « sur lequel on puisse écrire sans que l'encre soit bue, et que l'on puisse aussi facilement passer au (sic) copie de lettres que la feuille même sur laquelle j'écris ceci ».

Envoie un mandat poste de 7,60 F pour la commande de quatre ramettes de papier pelure glacé et collé et de l'ouvrage de George Noyes Miller.

Accuse réception de la lettre d'Em. Terquem du 7 juin 1894 et envoie l'échantillon du papier pelure mentionné dans sa lettre précédente mais qu'elle a oublié de joindre.