Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique et à l'École sociétaire, 23 décembre 1847

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)

Les folios

En passant la souris sur une vignette, le titre de l'image apparaît.

1 Fichier(s)

Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique et à l'École sociétaire, 23 décembre 1847

Les relations du document

Collection Correspondant.e.s

La Démocratie pacifique (Paris, 1843-1851) est destinataire de cette lettre

Sabran, Véran (vers 1811-1874) est cité(e) dans cette lettre

École sociétaire est destinataire de cette lettre

Afficher la visualisation des relations de la notice.

Informations sur l'édition numérique

ÉditeurÉquipe du projet FamiliLettres (Familistère de Guise - CNAM) & Projet EMAN (UMR Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne Nouvelle)

DroitsFamilistère de Guise et Bibliothèque centrale du CNAM ; projet EMAN (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle). Licence Creative Commons Attribution – Partage à l'Identique 3.0 (CC BY-SA 3.0 FR).

Exporter cette fiche

atom, dcmes-xml, json, omeka-xml

Exporter en PDF les métadonnnées
Exporter en PDF les métadonnées et l'image

Présentation

Auteur·eGodin, Jean-Baptiste André (1817-1888)

Date de rédaction23 décembre 1847

Lieu de rédactionGuise (Aisne)

Destinataire

Lieu de destination2, rue de Beaune, Paris

Description

RésuméGodin envoie 103 F, auxquels s'ajoutent 14 F versés par Véran Sabran à La Démocratie pacifique ; il renouvelle plusieurs abonnements à La Démocratie pacifique et à La Phalange et réalise des versements à la rente de l'École sociétaire en son nom et aux noms de Gosse, dont la nouvelle adresse est au Petit-Fayt près d'Avesnes dans le Nord, et de Véran Sabran. Godin communique l'adresse de son dépositaire à Paris à l'intention de Véran Sabran.

NotesUne copie de la même lettre se trouve sur la page 154 du registre FG 15 (2) conservé au Cnam. Destinataires : d'après la table du registre de la correspondance. Lieu de destination : le siège de La Phalange, de La Démocratie pacifique et de l'École sociétaire se trouve à Paris au 6, rue de Tournon en 1843, puis au 10, rue de Seine à partir du 16 janvier 1844, et enfin au 2, rue de Beaune à partir du 27 septembre 1846. La lettre finale du 23 décembre 1847 de Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, rédigée sur papier à en-tête des fonderies Godin-Lemaire à Guise, est conservée aux Archives nationales dans le fonds Fourier et Considerant (AN 10AS/38 (13)) ; le texte de la lettre finale est identique, à quelques mots près, à celui de la copie du registre du Cnam FG 15 (1). Le nom et l'adresse du concessionnaire des produits des Fonderies Godin-Lemaire qu'évoque Godin dans sa lettre sont manuscrits sur la lettre des Archives nationales : « Allez fils, quai de la Mégisserie 20 ».

Mots-clés

Finances personnelles, Périodiques

Personnes citées

Œuvres citées

Lieux citésPetit-Fayt (Nord)

Informations biographiques sur les correspondant·es et les personnes citées

NomÉcole sociétaire

GenreNon pertinent

Pays d'origineFrance

ActivitéFouriérisme

BiographieCentre du mouvement fouriériste français au XIXe siècle.

NomLa Démocratie pacifique (Paris, 1843-1851)

GenreNon pertinent

Pays d'origineFrance

Activité

Fouriérisme
Presse

BiographieJournal quotidien, organe de l'École sociétaire succédant à La Phalange. La Démocratie pacifique : journal des intérêts des gouvernements et des peuples, est publié à Paris de 1843 à 1851. Victor Considerant (1808-1893) en est le rédacteur en chef.

NomSabran, Véran (vers 1811-1874)

GenreHomme

Pays d'origineFrance

Activité

Fouriérisme
Industrie (grande)
Métiers de la confection

BiographieIndustriel et fouriériste français né à Nîmes (Gard) vers 1811 et décédé à Paris en 1874. Véran Sabran fonde en 1839 une fabrique de toiles pour la teinture et l'impression à Mont-d'Origny-Sainte-Benoîte (Aisne), entre Guise et Saint-Quentin, et une maison de négoce de ses produits à Paris. Sabran est fouriériste et à ce titre, il est en relation depuis les années 1840 avec Jean-Baptiste André Godin. Sabran rend visite à Godin à Esquéhéries en mars 1846, et son nom est régulièrement mentionné par Godin dans sa correspondance avec l'École sociétaire. Dans une lettre de 1847, il est domicilité au 3, rue Saint-Joseph, Paris. Les deux industriels sont assez étroitement liés, puisqu'en 1853 Véran Sabran propose à Godin de le représenter au collège Chaptal à Paris où Émile Godin, fils de Jean-Baptiste est élève en internat. Il est actionnaire de la société de colonisation européo-américaine du Texas, créée en 1854 par Victor Considerant et dont Godin est un des gérants. Véran Sabran visite le Familistère de Guise en octobre 1871.

Informations sur le document source

CoteFG 15 (1)

Collation1 p. (25)

Nature du documentCopie manuscrite

Lieu de conservationBibliothèque centrale du Conservatoire national des arts et métiers, Paris

Géolocalisation du lieu de destination

Notice créée par Équipe du projet FamiliLettres Notice créée le 30/03/2022 Dernière modification le 26/04/2023