Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Évrard, 15 février 1864

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)

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Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Évrard, 15 février 1864

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Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888), Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Évrard, 15 février 1864, 1864-02-15

Équipe du projet FamiliLettres (Familistère de Guise - CNAM) & Projet EMAN (UMR Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne Nouvelle)

Consulté le 28/08/2025 sur la plate-forme EMAN : https://eman-archives.org/Famililettres/items/show/43052

Informations sur le document source

CoteFG 15 (7)

Collation2 p. (88r, 89v)

Nature du documentCopie à la presse d'un manuscrit

Lieu de conservationBibliothèque centrale du Conservatoire national des arts et métiers, Paris

Informations sur l'édition numérique

ÉditeurÉquipe du projet FamiliLettres (Familistère de Guise - CNAM) & Projet EMAN (UMR Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne Nouvelle)

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Présentation

Auteur·eGodin, Jean-Baptiste André (1817-1888)

Date de rédaction15 février 1864

Lieu de rédactionGuise (Aisne)

DestinataireÉvrard, A.

Lieu de destinationLille (Nord)

Description

RésuméJean-Baptiste André Godin répond à la lettre d'Évrard du 15 février 1864 en lui écrivant qu'une entente est possible entre eux. Il lui précise qu'il ne peut modifier les conditions de rémunération évoquées lors de leur entrevue (3 % sur les placements de 500 F et 1 % sur le surplus), mais il consent à lui faire l'avance de 200 F par mois pendant le cours de ses voyages, et il lui accorde 6 F par jour et 0,10 F par kilomètre pour les voyages en Belgique et en Hollande. Il précise qu'il se réserve le droit de ne pas expédier la marchandise, que les commissions sont calculées sur les expéditions faites, et que le voyageur contribue à 10 % des pertes dues à des clients non solvables. Godin est prêt à lui réserver la région Est plutôt que lui confier le Midi. Il lui confirme qu'il prend en charge les frais de séjour à Guise des voyageurs qui viennent étudier les produits de la manufacture. Il indique qu'il ne peut lui confier la place de Lille. Il l'informe qu'il n'a pas eu le temps de se renseigner sur son compte auprès de monsieur Micolon.

NotesPersonne citée : H. Micolon est fabricant d'acier à Paris dans la deuxième moitié du XIXe siècle, au 61, rue de Dunkerque en 1864 (voir en ligne : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6333170p/f618, consulté le 10 janvier 2024).

SupportLa lettre est adressée à : « Poste restante à Lille ».

Mots-clés

Personnes citéesMicolon, H. [monsieur]

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Notice créée par Équipe du projet FamiliLettres Notice créée le 15/09/2022 Dernière modification le 10/01/2024